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4 mai 2019

Les influenceurs peuvent utiliser les nouvelles fonctionnalités d'achat d'Instagram pour vendre des produits

Image: instagram
Wow !

Ce n'était qu'une question de temps: Instagram confie certaines de ses nouvelles fonctionnalités d'achat à des influenceurs.

À partir de la semaine prochaine, quelques dizaines d'influents et d'éditeurs peuvent commencer à baliser des produits spécifiques, qui peuvent être achetés via l'application Instagram, dans leurs publications.

Cette décision ne laisse pas les influenceurs colporter leurs propres produits, mais leur permet d'ajouter les balises achetables d'Instagram à leurs publications. Lorsqu'ils étiquettent le produit d'une marque, leurs abonnés pourront acheter l'article avec la nouvelle fonctionnalité de paiement d'Instagram.

Auparavant, seule une poignée de marques pouvait utiliser des balises shoppables, et uniquement dans leurs propres publications. Mais avec ce changement, seulement un groupe de comptes de haut niveau pourra également utiliser les balises. Le groupe initial comprend des célébrités (Kylie Jenner, Gigi Hadid), des éditeurs (Elle, GQ) et une poignée d'influenceurs de la mode et de la beauté.

Instagram a intensifié ses fonctionnalités d'achat, et ce type de changement est la clé de la croissance future. Facebook ne peut pas placer beaucoup d’annonces dans les flux Instagram et dans les histoires. Le shopping, en revanche, peut être intégré dans toute l'application. Et beaucoup d'entreprises fonctionnent déjà sur Instagram. En disposant de ses propres fonctionnalités d'achat et de paiement, Instagram peut capturer une partie de l'argent dépensé par ses utilisateurs.

La société note que de nombreux comptes de haut niveau taguent déjà les marques dans leurs publications et que la fonctionnalité de balises achetables en est une extension naturelle. C'est peut-être vrai, mais c'est aussi un moyen beaucoup plus efficace d'inciter les gens à acheter des articles sur Instagram.

Pour l'instant, Instagram n'autorise pas les influenceurs à obtenir une redevance sur les ventes d'affaires résultant de ces publications, mais il n'est pas difficile d'imaginer que les balises deviennent une partie intégrante des offres de contenu sponsorisé déjà réalisées par les créateurs.

Pour les marques, la possibilité d'inclure des balises qui renvoient à des produits spécifiques que vous pouvez acheter sans jamais quitter Instagram est probablement beaucoup plus attrayante que le typique #sponcon.

Il instaure également un travail préparatoire important si Instagram choisit une version de cette fonctionnalité qui inclut le partage des revenus entre les marques et les influenceurs.

Source: https://mashable.com/article/instagram-influencers-shopping-tags/

21 mai 2009

Le Quebec traine de plus en plus la patte au niveau du Web

Je suis d'accord avec Michelle, c'était une minorité qui avait mis le Québec sur la carte du Web au début de ce 21e siècle, mais le fossé se creuse de plus en plus devant l'inaction flagrante de nos dirigeants, que ce soit du coté politique ou d'affaires.

C'est encore plus évident pour moi maintenant, alors que je passe plus de temps en région que dans la métropole, c'est effarant le manque de vision ici, sauf pour quelques précurseurs !!!


5 mai 2009

Commerce électronique: Profilage de vos acheteurs

Le commerce électronique n'est pas nécessairement une vente à l'aveugle si vous prenez le temps d'analyser vos statistiques Web efficacement.

On ne voit pas de visu le client débarquer de sa BMW ou de son tacot et on ne peut voir ses fringues et sentir son Aquavelva ou la dernière fragrance de Chanel mais en fouillant un peu dans ses statistiques (ou du coté de script de détection) on peut profiler un peu son client.

En plus de votre base de données de clients passés qui ont déjà été inscrits et dont vous avez l'historique d'achat et plusieurs métriques usuelles comme son adresse pour les livraisons, les visiteurs et acheteurs de votre site transactionnel peuvent aussi vous révélez plusieurs informations assez valable si votre système de statistiques Web est bien fusionné avec votre panier électronique de transactions.

Voici quelques données intéressantes que j'ai glané sur quelques centaines de transactions :

- Les utilisateurs d'ordinateur Mac sont de meilleurs acheteurs que les utilisateurs de PC
- Les visiteurs en provenance de AOl, Ask et Yahoo sont de meilleurs clients que ceux de Google
- Les utilisateurs de Ipod Touch ou Iphone sont aussi de bons clients à ne pas négliger
- Plus les résolutions d'écrans sont hautes (mobile inclus), plus le potentiel de conclure la transaction est élevé
- Le ratio visite/achat provient souvent de pays négligeables à premier abord : Quatar, Iran, Bermudes, polynésie, Nouvelle-Zélande, Émirats Arabe, Hong-Kong, Chine, Norvège... 18- Canada, 19-États-Unis

3 avr. 2009

Onglet Ecommerce dans Google Analytics

Vous saviez déjà qu'une majorité de vos clients ne consulte pas régulièrement leur statistiques de fréquentation sauf pour une majorité de commerçants en ligne. Mais de ceux-ci, qui gagnent leur pains et leur beurre du Web, une petite proportion ont pourtant configuré la fonctionalité Ecommerce dans Google Analytics.

Sortez du brouillard

Voici simplement deux copies d'écran qui devrait vous faire apparaître une grosse lumière dans vos brouillard de chiffres qui avec ses données vont vous faire apparaître où concentrer vos effort d'optimisation.

Vos meilleurs sites référants (et par la bande vos retour sur mailing-list) :


Vos meilleurs mots-clés

Comme vous le verez en cliquant sur ces images, les colonnes; revenue, # de transactions, moyenne des $ de transactions, taux de conversion et valeur $ par visite, vous donneront souvent une toute autre perpective sur vos statistiques Web et permettent de cibler dans ces deux cas les site référants les plus profitable ainsi que vos mots-clés les plus payants.

4 févr. 2009

Les criteres qui influent sur l'achat en ligne : Le prix est primordial

Je vous avais mentionné hier cette étude et guide pour investisseurs de JP Morgan. J'avais manqué ce tableau tout de même assez pertinent que j'ai vu aujourd'hui sur Emarketing-CRM. Je vous ai fait ma propre traduction ici :

Critère
Critère # 1
Critère # 2
Dans le top 5
Prix
48.8%
19.5%
91.0%
Choix
12.0%
25.3%
79.1%
Utilisabilité/Convivialité
12.0%
8.7%
57.3%
Modes de paiement
5.0%
10.2%
50.9%
Service clientèle
5.0%
7.9%
50.0%
Promotions / publicité
3.7%
9.9%
42.8%
Accès aux avis des clients
2.7%
5.9%
39.0%
Possibilité d'achats multiples
2.7%
4.9%
33.4%
Reconnaissance du nom
5.8%
5.0%
32.5%
Recommandations
d'amis/connaissances

2.1%
2.6%
21.0%
Source: J.P. Morgan Internet Team 2008 Consumer Survey

Il est à noter que la dernière ligne du tableau détonne avec beaucoup de littératures récentes où le "Word of Mouth" est habituellement un des critères les plus fort dans le processus d'achat !!!

Peut-être que les britanniques sont plutôt sceptiques sur les conseils de leurs proches ?

Les canadiens semblent etre les plus craintifs sur l'achat en ligne en 2008

C'est du moins ce que présente cette étude de Emarketer selon Nielsen Online :



Heureusement que le Québec ni figure pas, car ce serait navrant !

J'avais aussi comparé nos cousins français à nous "pôvres" québécois dans ce billet de novembre dernier : Commerce electronique : Quand on se compare on se desole !

3 déc. 2008

19 nov. 2008

Commerce electronique : Quand on se compare on se desole !

Achats en ligne

France : 22 millions d'acheteurs (sur 65 M donc 33%) de Français pour 31,28 milliards de dollars canadiens
Québec : 1,5 millions d'acheteurs (sur 7,7 M donc 16%) de Québécois pour $ 3,5 milliards

C'est vraiment stupéfiant qu'ici au Québec avec un territoire 2,2 fois plus grand que la France, nous sommes si peu à utiliser le Web pour faire nos achats !

La seule donnée encourageante est que les Québécois semble dépensé plus par année que leur cousin français.

3 janv. 2008

Ice.com en voie de devenir le Ebay du luxe abordable ?

C'est en tout cas ce que me laisse penser ce surprenant apport de capital pour une compagnie qui a généré plus de $83 millions de vente en ligne en 2007 avec une croissance de 70% cette année !

29 déc. 2007

2007 : L'annee Facebook

Janvier:
Ajout de fonctionnalités pour la protection de vos renseignements.
Facebook s'ouvre au mobile.

Février:
Le FQL (Facebook Query Language) et la plateforme des developpeurs sont annoncés.
Trois chandelles pour FB.

Mars:
Première réelle effervescence sur la croissance fulgurante de Facebook.

Avril:
Première mise en garde sur le vol d'indentité de Sophos.
La boite Inbox s'améliore.

Mai:
Les annonces classées gratuites voit le jour.
Les rumeurs sur la sortie des applications commencent.
Lancement de la plateforme Applications.
Facebook approche les 25 millions de membres et commence à faire de l'ombre à MySpace.

Juin:
Les vidéos peuvent être téléversés.
Moins d'un mois après l'ouverture de la plateforme d'applications, Facebook commence à devenir le site de l'année et de faire grande ombre aux MySpace et autres Second Life.

Juillet:
Facebook acquiert Parakey.
La poursuite contre Zuckerberg pour vol d'idées et de code est encore prolongée.
Près de 2000 applications crées en moins de 2 mois

Août:
Le code source de Facebook est dévoilé sur la Toile.
Facebook disponible sur Iphone
L'affaire Freddi Staur (anagramme de "ID fraudster") et l'enquête de Sophos fait des vagues.
Facebook police ses règles pour que les applications spamment moins les utilisateurs.

Septembre:
Londres dépasse Toronto comme plus gros réseau métropolitain.
Le New York Times rejoint le Washington Post avec elle aussi une application sur Facebook.

Octobre:
Facebook atteinds les 40 millions de membres.
Le cinquième des Canadiens a un profil sur Facebook.
Les employés de Facebook fouillent dans les données privée.
Microsoft prend une petite part (1.6%) de Facebook pour $240 Millions

Novembre :
Le quart des canadiens (oui, oui, 25% de tous les canadiens) ont un profil sur Facebook
Facebook atteind les 50 millions de membres.
Facebook lance les nouveaux formats publicitaire : Social Ads, Facebook page et le très controversé Beacon.
Premier dérapage publicitaire par Molson sur Facebook. Le concours ferme plus tôt que prévu.

Décembre :
La poursuite contre un magazine par Mark Zuckerberg pour atteinte à sa vie privée est débouté.
Facebook rends sa plateforme accessible aux autres développeurs de réseaux sociaux et contre ainsi OpenSocial.
Mark Zuckerberg s'excuse le 5 décembre sur le blog de Facebook pour le dérapage avec Beacon
Les "amis" de Facebook peuvent maintenant être catégorisés plus efficacement.
La SPVM ne contrôle pas ses membres sur Facebook.
Un système de paiement interne serait en phase beta.

5 déc. 2007