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9 juin 2010

Étude de cas de veille 2.0 et de bonne représentation

Je suis tombé sur cette discussion dans un forum spécialisé sur les systèmes d'aspiration centralisée et j'ai été un peu surpris par la très bonne communication entre un représentant d'une firme d'aspiration centralisée et une cliente potentielle.

En fouillant un peu plus dans ce même forum, j'ai aussi vu comment ce représentant a dû faire face à une critique négative sur sa marque. Il s'en est remarquablement bien tiré!

Ce fera un bon exemple pour mes clients qui se lancent dans l'aventure du 2.0, c-a-d d'ouvrir ses communications bi-directionellement.

19 oct. 2009

Publicité et agences : Deux ans plus tard, ont-ils compris ?

Voici une étude qui a été publié en septembre 2007 par IBM et intitulé "The end of advertising as we know it" et que j'avais cite ici en novembre 2007.

Note: J'ai ajouté quelques points en gras et insertions en vert)

IBM prédit la fin de la publicité telle que nous la connaissons - Septembre 2007

Le groupe Services d’affaires mondiaux IBM vient de publier son dernier rapport, The End of Advertising as We Know It (La fin de la publicité telle que nous la connaissons), dans lequel il prévoit que l’industrie de la publicité connaîtra dans les cinq années à venir une perturbation d’une ampleur inégalée au cours des 50 dernières années. IBM a réalisé un sondage auprès de plus de 2 400 consommateurs et 80 directeurs de la publicité à l’échelle mondiale. Les résultats révèlent que l’habilitation grandissante des consommateurs, l’autosuffisance accrue des annonceurs et les technologies en constante évolution sont en train de redéfinir la vente, la création, l’utilisation et le suivi de la publicité.

Ainsi, les joueurs du monde de la publicité traditionnelle risquent de voir leurs recettes chuter alors que les budgets seront rapidement réaffectés à de nouveaux formats interactifs, dont la croissance prévue sera de cinq fois celle de la publicité traditionnelle. Pour survivre au sein de cette nouvelle réalité, les diffuseurs doivent changer leur attitude ancrée vis-à-vis du grand public et répondre aux besoins des segments de consommation par créneau et les agents de distribution doivent offrir de la publicité interactive ciblée pour une vaste gamme de dispositifs multimédias. Les agences de publicité doivent expérimenter sur le plan de la création, se transformer en courtiers de données sur la consommation et orienter l’affectation des dollars de publicité au sein d’une explosion de choix. Tous les concernés doivent s’adapter à un univers dans lequel l’achat et la vente de publicités se font de plus en plus dans des marchés ouverts plutôt que par les voies traditionnelles.

« L’adoption du divertissement numérique se fait beaucoup plus rapidement qu’on l’avait prévu. Le milieu de la publicité doit donc complètement réorienter ses activités afin de répondre aux besoins de consommateurs qui, de plus en plus, accèdent à du contenu dans des formats non linéaires, précise Bill Battino, associé délégué du secteur des communications, Services d’affaires mondiaux IBM. Les entreprises doivent revoir leur façon de présenter le contenu aux consommateurs grâce à des modèles de gestion qui sont davantage axés sur l’engagement des consommateurs dans une relation. »

Le rapport dégage quatre moteurs du changement qui font pencher la balance des pouvoirs de l’industrie de la publicité : le contrôle de l’attention, la créativité, la mesure et les stocks de publicités. Comme l’indique le sondage mondial d’IBM sur les médias et le divertissement mené auprès des consommateurs et publié en août, l’attention des consommateurs s’est déplacée et le temps de navigation dans Internet à des fins personnelles rivalise désormais le temps d’écoute de la télévision.

Les consommateurs en ont assez de la publicité interruptive et prennent de plus en plus les commandes du filtrage, de la distribution et de l’utilisation de contenu et des messages publicitaires qui leurs sont associés ainsi que de l’interaction avec ceux-ci. Les résultats du sondage d’IBM révèlent que la moitié des propriétaires de magnétoscope numérique visionnent 50 % ou plus de la programmation en différé et que la publicité télévisée traditionnelle est impossible à transposer en ligne : 40 % des répondants considèrent la diffusion de publicités au cours d’un segment vidéo en ligne plus irritante que toute autre forme de publicité. De plus en plus d’amateurs et de semi-professionnels créent du contenu publicitaire à peu de frais et menacent du fait les agences de création (Ex : lipdub). Quant aux maisons d’édition et aux diffuseurs, ils étendent leurs rôles de création. Les annonceurs réclament une responsabilité et des mesures plus précises relatives au consommateur, et ce, pour toutes les plateformes publicitaires. Les marchés publicitaires libre-service s’accaparent des recettes qui étaient autrefois l’apanage de canaux ou de transactions exclusives.

Les attentes des experts en publicité sont conformes aux tendances mondiales en matière de consommation.

La recherche d’IBM révèle que la nature changeante des consommateurs n’a pas échappé aux experts en publicité, qui voient également poindre des changements profonds à l’horizon. Plus de la moitié des professionnels de la publicité interrogés par IBM s’attendent à ce que, au cours des cinq prochaines années, les marchés publicitaires ouverts (qui sont actuellement dirigés par des sociétés telles que Google, Yahoo et AOL) s’approprient 30 % des recettes que recueillent actuellement les diffuseurs et les médias traditionnels. Près de la moitié des répondants au sondage prévoit une réduction sensible (supérieure à 10 %) des recettes provenant du message publicitaire de 30 secondes dans les cinq prochaines années et presque 10 % des répondants sont d’avis que cette réduction sera importante (supérieure à 25 %). Les deux tiers des experts en publicité interrogés par IBM prévoient que 20 % des recettes publicitaires passeront des formats de publicités par impressions aux publicités par chocs en l’espace de trois ans.

« La publicité demeure une partie intégrante de la culture populaire et continue de financer une partie importante du divertissement partout dans le monde, explique Saul Berman, chef du groupe-conseil Stratégies et changements, Médias et divertissement IBM. Elle doit néanmoins s’adapter aux nouveaux formats et offrir une valeur plus intrinsèque aux consommateurs, qui disposeront de plus de choix. Compte tenu de la mine de nouveaux débouchés publicitaires, l’analyse des consommateurs jouera un rôle plus prépondérant que jamais quelle que soit la position d’une entreprise dans la chaîne de valeur. Les jeunes en particulier n’ont pas l’habitude de payer pour obtenir du contenu. En dépit du contrôle plus étroit qu’exercent les consommateurs sur le contenu et la publicité, nous imaginons un monde dans lequel ces derniers continueront de préférer le visionnement de publicités au paiement direct pour du contenu. »

Selon le rapport d’IBM, d’ici 2012, le paysage de l’industrie connaîtra une transformation si profonde que les joueurs de l’industrie de la publicité, afin de survivre, devront prendre des mesures énergiques pour innover dans trois domaines clés :
  • Consommateurs - Faire de la microsegmentation et de la personnalisation les éléments suprêmes de la mise en marché.
  • Modèles de gestion - Le mode et le lieu de vente des stocks de publicités, la structure et les formes de partenariats, les modèles de recettes et les formats de publicité. ·
  • Conception et infrastructure commerciales - Tous les concernés doivent repenser les ressources organisationnelles et d’exploitation du cycle de vie publicitaire afin de soutenir l’innovation à l’égard du consommateur et du modèle de gestion : rapports sur l’analyse des consommateurs, la planification des canaux, la achat et la vente, la création, la prestation et l’impact.
IBM croit que tous les joueurs devront investir de façon importante dans l’analyse des consommateurs et l’automatisation afin d’en apprendre davantage sur ces derniers et sur la façon de les joindre. Par exemple, la publicité interactive jumelée à des données d’analyse sur la consommation fournit des renseignements probants sur qui a visionné une publicité et y a donné suite plutôt que des estimations d’impressions, et permet donc aux annonceurs de maximiser leurs recettes et la gestion de la recette unitaire. Les joueurs de l’industrie devront par ailleurs vérifier s’ils disposent des ressources et des moyens nécessaires pour prendre en charge un plus grand nombre de promotions de mise en marché et de ventes de publicité intégrée. Enfin, IBM a noté que la montée en flèche du nombre et de la diversité de promotions entraîne un investissement accru dans des outils qui servent à transformer numériquement les flux des travaux des entreprises, dont les processus de gestion de contenu, de création, de production et d’approbation, ainsi qu’à en réduire le coût.

Autres faits saillants de l’enquête :

Attitudes des consommateurs vis-à-vis de la publicité

  • Les magnétoscopes numériques permettent d’ignorer les publicités à grande échelle : La moitié des propriétaires de magnétoscope numérique visionnent 50 % ou plus de la programmation en différé (le taux d’utilisation du magnétoscope numérique au sein des répondants était d’environ 25 %).
  • Les formats de publicité télévisée traditionnelle sont impossibles à transposer en ligne : 40 % des répondants considèrent la diffusion de publicités au cours d’un segment vidéo en ligne plus irritante que toute autre forme de publicité.

Les comportements des consommateurs sont dictés par la génération à laquelle ils appartiennent.

Le sondage réalisé par IBM auprès de consommateurs à l’échelle mondiale révèle des différences importantes dans les comportements des ados « cool », des adeptes de gadgets et des « passifs massifs » :
  • Ados « cool » : Sont nombreux à utiliser les sources de contenu nouveau, gratuit et interactif (75 % dans des sites de réseautage personnel, <15>
  • Adeptes de gadgets : Sont deux fois plus portés à passer du temps en ligne qu’à regarder la télévision et cinq fois plus susceptibles de faire une contribution à des sites de contenu vidéo que les « passifs massifs » ; disposent d’un revenu élevé.
  • « Passifs massifs » : Sont davantage disposés à payer pour du contenu (répartition de 50-50), s’intéressent davantage aux expériences de détente - par conséquent, affichent le taux d’adoption le plus élevé pour la télé payante, les abonnements à des quotidiens en ligne.

Les consommateurs s’adonnent à la création

Les consommateurs participent de plus en plus à la création et à la diffusion de messages :
  • Les consommateurs fréquentent en grands nombres les sites qui subissent l’influence d’utilisateurs : Les sites de réseautage personnel (45 %) et les sites qui présentent du contenu produit par les utilisateurs (33 %) sont ceux dont l’adoption est la plus répandue au sein des répondants - plus élevée que la télé payante (24 %), les quotidiens en ligne (18 %) ou même les services musicaux comme iTunes (24 %).
  • Les utilisateurs fournissent de plus en plus de contenu : 26 % contribuent du contenu à des sites de réseautage personnel et près de 10 % à des sites de contenu vidéo comme YouTube.
  • Les utilisateurs sont des influenceurs de confiance : 32 % ont dit visiter des sites selon les recommandations d’amis, 60 % de ceux qui ont contribué du matériel l’ont fait pour la célébrité (reconnaissance) plutôt que pour l’argent (valeur pécuniaire).

Les annonceurs suivent les tendances des consommateurs

  • Entend réduire ses dépenses en publicité télévisée : 44 % des annonceurs ont dit prévoir une réduction sensible ou importante (c.-à-d., 10 % ou 25 % respectivement) de leurs dépenses en publicité télévisée au cours des cinq prochaines années en raison du changement du comportement du consommateur.
  • Veut des modèles de responsabilité : Deux tiers des professionnels de la publicité interrogés s’attendent à ce que 20 % ou plus des publicités par impressions passent aux publicités par chocs en l’espace de trois ans. Prévoit une perturbation : La majorité (>50 %) des répondants s’attend à ce que de nouveaux aggrégateurs en ligne (diffusion automatisée et à peu de frais des publicités) s’accaparent 30 % de la part des recettes des titulaires de médias en cinq ans.


Ont-ils compris ?

16 juin 2009

Un premier coup d'etat numerique ?

Assez impressionnante cette (r)évolution irannienne qui est en train d'avoir lieu. Twitter, le blogue et le réseau social sont au coeur de ce qui pourrait être un coup d'état numérique.

Quand une plateforme de micro-bloguage en est rendu a recéduler sa mise à niveau à cause de ce qui se passe en Iran, c'est que la démocratie devient planétaire. Voir ces deux excellent billets, l'un du copain Martin Lessard et spécialement celui de Philippe Gammaire.

14 mai 2009

26 janv. 2009

Gardium-greve.com : Quand les tactiques de rayonnement Web deraillent

Je viens de voir dans mes statistiques Web un nouveau référent : Gardium-greve.com ?

Drôle de nom de domaine pour mon blogue qui est relié trés spécifiquement et intentionnellement aux nerds du marketing et SEO que moi j'aime mieux appellé, surtout dans ce cas-ci, au rayonnement Web.

Je vais donc voir ce drôle de nom de domaine et je constate que ce nouveau blogue d'une compagnie de sécurité a aspiré le nom des journalistes et bloggeurs techno les plus présents sur la Toile du Québec et de la France en ce moment, (update 23:h20) même si il semble s'être arrêter à la lettre M du prénom pour le moment:
Je trouve très très déplacé de ce blogue et de cette compagnie de sécurité en gestion de conflits de travail, de mettre en ce moment spécialement, des journalistes (et bloggeurs/chroniqueurs) qui n'ont absolument aucun rapport avec la sécurité et une particulièrement (Genevieve Lefebvre) qui est présentement en conflit avec un quotidien montréalais, qui a mis en lock-out ses employés en Blogroll.

C'est une tactique très misérable d'un conseiller qui connais mal la blogosphère pour conseiller ce client. Ok pour mettre le nom de Claude Poirier ou autre chroniqueur judiciaire en blogroll, mais que font les nom de Pisani, Benoit Raphael ou de Christian Guy dans ce blogroll ? Aucun intérêt sauf que plusieurs de ces personnes ont une certaine influence dans la Toile québécoise et française.

Pas fort ! Les retours de flammes (flamming) vous connaissez ?

8 janv. 2009

Les journaux de plus en plus Web 2


Les journaux se servent de plus en plus du contenu généré par les lecteurs et des techniques du Web 2.0 dans leur site Web. L'article de Biving Report vous donnera quelques informations supplémentaires. C'est assez surprenant comme progression dans ces trois dernières années :

9 nov. 2008

Campagne electorale provinciale et outils Web 2.0 : Twitter est très mal utilise

C'est fou comme les campagnes se suivent et se ressemble, mais dans le cas de cette campagne provinciale c'est de pire ne pire pour l'utilisation des outils du Web 2.0.


Twitter et le parti libéral

http://twitter.com/jeancharest

0 Following
25 Followers
14 Updates

La personne qui twitte sous JeanCharest n'a absolument rien compris au médium qu'est Twitter. Que de la communication à sens unique, car cette personne ne suit aucun autre personne sur Twitter. Navrant et désolant.Être au parti libéral du Québec, je retirerais tout de suite mon compte sur Twitter et j'affecterais cette ressource à traduire mon site qui est encore uniquement francophone.

Twitter et le parti québécois

http://twitter.com/quebecgagnant

172 Following
117 Followers
114 Updates

Près de cinq fois plus d'abonnés au fil de Twitter, la(les) personne(s) qui Twitte(nt) pour le parti québécois engage(nt) une conversation avec les autres abonnés mais utilise aussi beaucoup une communication soit assez platonique du style : Pauline Marois assiste dans 40 minutes à l'investiture de... ou encore cyniques comme l'a si bien répertorié Michael Carpentier dans ce billet-ci:

Message de Éric Baillargeon: Mais pour quelques jours c’est plutôt MOI qu’ils trouveront ;-) http://tinyurl.com/5qf2zy
Réponse du twitter du PQ: entre les élections, les gens savent comment nous trouver. En campagne, c’est différent et concentré sur quelques enjeux.

Commentaire de Michael: toujours ce sentiment qu’entre les élections, le Web n’est pas nécessaire. “Les gens savent comment nous trouver”. Évidemment, puisque vous êtes le centre du monde…

Message de Patricia Tessier: Peut-être que le courrier c’est comme le blogue on s’en occupe uniquement durant la campagne électorale!
Réponse du twitter du PQ: Pourquoi êtes-vous autant de mauvaise foi ? Le Parti Québécois s’est bien débrouillé jusqu’ici sur le plan technologique.

Commentaire de Michael: Le PQ s’est jusqu’ici bien débrouillé sur le plan technologique? Est-ce que vous le pensez vraiment et si oui, je comprends donc que les opinions exprimées sur le Web depuis quelques jours par les spécialistes du domaine ne sont que foutaises? Et d’accuser de mauvaise foi une personne qui fait des remarques fondées (et tente de contribuer de superbe façon à bâtir un Québec plus numérique) ne me semble pas faire preuve d’une très grande ouverture, ni que vous êtes conscient de la pente que les partis politiques ont à remonter dans notre estime…

Message de Michelle Blanc: c’est une preuve d’improvisation.
Le twitter du PQ: Nous défions qui que ce soit de mettre en branle une campagne en aussi peu de temps sans improviser quelque part.

Commentaire de Michael: Ça, c’est mon préféré. C’est vrai qu’entre les élections, vous n’avez pas le temps de vous occuper du Web, ni les moyens. Dites-moi, les pancartes, vous les improvisez aussi? Les sorties télévisées, improvisées elles aussi? Le slogan, improvisé? Le choix des candidats, improvisé? Pourtant, vous étiez aussi pressés par le temps pour tout ça, non?

Réponse du twitter du PQ suite à un message de Michel Dumais: À moins que nous nous trompions, les convertis ne sont pas si nombreux que ça en technologies. Plusieurs sont indifférents.

Commentaire de Michael: Ayoye. Comme ça, les nerds sont indifférents à la politique? Qui vous suit sur Twitter alors? Ma mère vous croyez?

Réponses à Yves William, qui demande pourquoi le Twitter du PQ a un ton aussi “officiel” et froid :

  • Parce que nous souscrivons à la vision de Pauline Marois et de son équipe et que nous ne sommes pas là pour leur voler le show.
  • les partis ont des porte-paroles officiels qui donnent la réponse de la bouche du cheval. Ce n’est pas notre rôle.
Commentaire de Michael: Alors si je comprend bien, vous êtes le twitter officiel du parti, mais pas un porte-parole? Et vous ne souhaitez pas voler le show à l’équipe de Pauline Marois. Vous n’en faites donc pas partie? Les “vrais” porte-parole ne sont pas sur le Web? Vous êtes quoi alors?
Donc, en bref, une utilisation beaucoup plus dynamique, mais le parti québécois en lui-même a beaucoup de mal a bien utilisé les technologies Web 2.0 et sont indéniablement mal conseillé et orienté sur le Web 2.0. Mais c'est un début !

Twitter et Québec Solidaire

http://twitter.com/quebecsolidaire

78 Following
80 Followers
41 Updates

Bio : Minimale et mais non-anonyme.

Une véritable conversation est engagé par Anne-Marie Provost (représentante sur Twitter de Québec Solidaire) qui pointe aussi parcimonieusement sur des articles parlant de son parti pour que son espace Twitter ce ne soit pas qu'un flux de nouvelles partisanes. J'aime bien, même si l'on remarque le peu de moyen du parti.

Twitter et l'Action Démocratique du Québec

L'ADQ de Mario Dumont n'ont pas de compte Twitter et ne semble pas se préoccuper de ce que leur Fan y dit. Pourtant Mario, avec les sondages que tu as, tu devrais utilisé tout les canaux disponibles.

30 oct. 2008

Le rapport Feed de Razorfish sur l'adoption rapide du Web 2.0

Étonnant constat que le rapport Feed (PDF 18 meg ou rapport Flash ici) de Razorfish, - première agence marketing Web au monde -, sur l'adoption si rapide des technologies Web 2.0 (réseaux sociaux, micro-blogue, Widget, RSS, etc) par les utilisateurs que les experts de l'industrie y ont de la peine à suivre.

...today’s consumer is more technically adept, open for experimentation and—most importantly—active than ever before.
Et voici quelques statistiques tiré de cette étude qui vaut vraiment le détour :

  • 28% utilise assez fréquemment Twitter (qui est un relativement nouveau)
  • 41% utilise assez fréquemment des étiquettes (tag cloud)
  • 52% utilise assez fréquemment les fils RSS
  • 52% ont partagés des signets avec des service comme del.icio.us
  • 55% use widgets on the computer
  • desktop with some frequency
  • 62% utilise assez fréquemment des widgets sur des sites comme Facebook ou iGoogle
  • 81% remarquent les liens “Most Popular” ou “Most Emailed” assez fréquemment
  • 94 % consomment des vidéos en ligne
  • 52 % ont téléchargés des vidéos de leur cru et 84% des gens les partagent
Un mot qui résume bien l'étude : ACTIF

27 sept. 2008

La Presse innove avec un dossier Podcast et son concours papier et en ligne

Quelle ne fut pas ma surprise de voir à la Une de La Presse, un dossier sur la rue St-Laurent en format podcast ce matin. Surtout qu'étant dans Charlevoix ce week-end, La Presse il faut la chercher un peu plus loin qu'au dépanneur du coin !



Donc,en plein sur la Une, le dossier Podcast Boulevard St-Laurent (fichiers audios numérisés servant ici d'audio-guide) et un concours chasse aux trésors qui se tiennent autant dans la version papier que sur le Web de façon traditionnelle et en version audio (Podcast).


Vraiment génial d'allier; journal papier + podcast + concours = Rajeunissement du lectorat et sérieux bon coup de marketing auprès des jeunes. Bravo à cette initiative qui rejaillit aussi beaucoup sur Montréal !

31 août 2008

Web 2.5 : Quantifié la qualite de l'interactivite par les données mathematiques et historiques

C'est bien l'interactivité que procure le Web 2.0, mais on connaît tous ses travers, comme les trolls (def. anglais) ou encore les bons amis et/ou agence de relations publiques des producteurs de contenus qui louangent sans borne le travail exécuté.

Dans le cas des critiques de Cinéma Montréal, l'internaute peut se faire premièrement une petite idéee de la critique d'un film grâce au tableau récapulatif des appréciations des internautes :


La où je trouve que Cinéma Montréal a assez bien fait son boulot versus les autres système de votes que j'ai aperçu sur la toile c'est de mettre le nombre de critiques que le commentateur a publié ainsi que ses côtes d'appréciations par film :

Dans cet exemple ci-haut, je peux disséquer que cet internaute est du même avis que moi sur le film du Cas Roberge, mais qu'il est diamétralement opposé à mes appréciations sur d'autre films comme la note parfaite sur l'Âge des ténèbres ou encore le 3/10 sur L'horloge Biologique. Ainsi, on peut se faire une bien meilleure idée de la valeur de cette critique particulière (par rapport à nos goûts) et allez vois d'autres historiques qui correspondent plus à nos goût et valeur comme celle-ci pour mes goûts personnels :


Être Cinéma Montréal, je pousserais encore un peu plus l'exercice. J'afficherai aussi les données des résultats totaux de chaque film en 3e colonne et je côterais l'individu qui critique en tenant compte de l'ancienneté de l'inscription, du nombre de critiques et surtout de la moyenne du nombre de mots inscrits dans chacune de ses critiques. Pour les "meilleurs", des billets gratuits de temps à autres pour insiter ceux-ci à développer leur commentaires pour ne pas avoir des exemples comme ceux-ci :
  • C'est pourri j'aurais du mettre mon 10$ en gaz en place.
    1/10
  • Excellent film! À voir, pourquoi ne pas juger par vous même.
    10/10
C'est un petit peu la méthode que Google nous propose pour les résultats de recherche personnalisés. Et je crois qu'ils ont fait leur preuves!

Mise-à-jour 11h00
: En terminant ce billet, je me suis rappeler que j'avais fait un billet sur Swotti l'analyseur d'opinion en mars 2008, et je découvre que maintenant Swotti décele les titres de films (en anglais) et catégorise maintenant ceux-ci par ; Scenario, Directeur, Acteurs, Trâme sonore, Crtiques et autres catégories selon le film.

30 juin 2008

Payant la voie du Web 2.0 ? On peut presager que oui

Les résultats de H&R Block surprennent les analystes financiers, mais étonnent beaucoup moins ceux qui suivent les méthodes de marketing Web de cette compagnie sur les réseaux sociaux (et autres Twitter et Second Life) pour aller ce chercher une clientèle plus jeune et dynamique.

30 mai 2008

La Startup Montrealaise Standoutjobs remporte une premiere place au SeoMoz Web 2.0 Awards

Bravo à l'équipe du site d'emplois Standout Jobs pour leur première première position au SeoMoz Web 2.0 Awards dans la catégorie Employment and Jobs devant des gros noms comme Monster et Carrerbuilder.

Note: J'ai réalisé un mandat pour StandoutJobs

19 mai 2008

WebMonkey est de retour a l'heure 2.0

Pour ceux qui ont fait du développement Web dans l'autre millénaire WebMonkey était une bonne ressource pour les intégrateurs et programmeur Web. Maintenant Webmonkey fait dans le 2.0 alors qu'il roule sur Wiki et nous propose un blog en plus de ces traditionnels Tutoriel, référence et librairie de code. Bravo !

25 avr. 2008

Previsions optimistes de Forester sur les depenses en Web 2

Les prévisions de dépenses décroissent selon la taille des entreprises ce qui fait du sens, surtout que plusieurs technologies Web 2.0 sont peu dispendieuses ou même gratuite comme le souligne Jeremiah dans son billet sur leurs prédictions. Cette étude rejoint un peu aussi celle que nous présente Jean-Michel Salaun sur les tendances en investissement dans les secteurs de l'économie de l'information.


Ventilation par technologies déployés :

25 mars 2008

Swotti : L'analyseur d'opinions 2.0

Swotti, un moteur de recherche d'opinions en ligne en version beta qui nous parvient d'Espagne est très surprenant. Il fouille les blogues, forums et sites Web sur les opinions sur des produits ou services Web pour colliger le tout dans un tableau somme toute assez bien fait. Voici ce qu'il nous propose sur le Blackberry 8800.



À gauche des photos du produit et/ou le site Web du fabricant ou service Web.

Au centre en haut la note globale pour / contre suivit des appréciations sur des caractéristiques propre au produit ou service par catégories spécifiques à votre requête (clusters) suivit de notes (sous forme de thermomètres) sur chaque particularité du produit/service.

À droite ce trouve informations trouvés par votre requêtes sur les différentes pages Web avec une coloration des mots-clés qui lui ont servis pour faire l'analyse automatique du produit.

Il permet aussi de faire des comparaison entre produits comme le montre cet autre copie d'écran :



Swotti a déjà quelques 3 millions d'analyse à son actif et il fore le Web en temps réel si votre produit ou service Web n'est pas dans sa base de donnée. Il n'est évidememnt pas parfait comme le montre cette requête sur le site Web Capazoo



Mon opinion : Pour un service Beta qui n'a que quelques mois d'existence, il est une très extraordinaire nouvelle forme de service Web en amalgamant la recherche sémantique pour nous faire une analyse tout de même assez pertinente de produits ou services et est un outil essentiel à toute compagnie qui veut faire une veille rapide de ce qui se dit sur la Toile sur ses produits ou ses services.

21 mars 2008

La Coree du sud championne du Web 2.0

Les coréens sont les grands champions de la création de contenu social selon les études de Forester réalisés auprès de plus de 40,000 personnes sur trois continents.

Corée


Chine


Japon


États-Unis


Europe

Vous pouvez voir la présentation de Forester ici et allez forer des données plus spécifiques grâce à une application Flash sur cette page.

4 mars 2008

Robert Gravel : Un instigateur du Web 2.0 ?

En regardant ce soir la télévision et en remarquant le nombre de comédiens anciennement de la ligue nationale d'improvisation qui y gravitent, j'ai eu le "flash" que le Web 2.0, ( c.-a-d. les blogues, YouTube, etc) et la facilité qu'on a maintenant de s'exprimer aisément et sans grand frais pour communiquer et faire des affaires, ressemble étrangement à ce que Robert Gravel avait fondé à l'époque.

Brièveté des présentations versus billets concis et court. Arbitre, claques et votes versus modérateur, liens et commentaires.

La similitude de la cohorte de nouveaux talent qui habitent nos petits écrans aujourd'hui, versus la vieille gang de bloggeurs bien établit dans les médias d'aujourd'hui est assez saissisante. Tout n'est que cycle !

9 janv. 2008

C|NET : Un survivant de la bulle 2000 qui subit les foudres du nouveau Web

NB: Remarqué que je n'ai pas employé Web 2 dans ce titre

Avec feu Multimedium et feu Pssst.qc.ca, C|Net a fait parti de mon univers médiatique Internet quotidien de 1998 à 2002-2003. Je ne me souviens plus très bien quand je l'ai retiré de mes favoris, car à l'époque les fils RSS de CNET étaient, à ma souvenance, pas très ciblés sur les contenus spécifiques techno et qu'aussi C|NET n'avait jamais vraiment été à l'écoute de son public Web. Comparé juste les commentaires sur CNET versus les autres acteurs du milieu. Avec 2,600 employés CNET n'a jamais été foutu de dynamyser son audience !!!

Mais on dirait que c'est les investisseurs qui vont essayés de sortir de la torpeur CNET qui voit les TechCrunch et autres, leurs saper ces parts de marchés.

9 nov. 2007

La fin de la publicite tel qu'on la connu

Wow ! Un must pour votre lecture du week-end si vous êtes intéressé quelque peu par la publicité et les nouveaux médias. Quelques brides de cette excellente étude d'IBM basé sur 2,400 consommateurs et 80 experts en publicité:
Consumers are increasingly exercising control of how they view, interact with and filter advertising in a multichannel world, as they continue to shift their attention
away from linear TV and adopt ad-skipping, ad-sharing and ad-rating tools.3 Our survey suggests personal PC time now rivals TV time, with 71 percent of respondents using the Internet more than two hours per day for personal use, versus just 48 percent spending equivalent time watching TV. Among the heaviest users, 19 percent spend six hours or more a day on the PC versus just 9 percent who watch a similar amount of TV.
Advertising inventories – New entrants are making ad space that once was proprietary available through open, efficient exchanges. As a result, more than half of the ad executives interviewed expect that open platforms will, within the next five years, take 30 percent of the revenue currently flowing to proprietary incumbents such as broadcasters.

Open Exchange: Here, the industry morphs behind the scenes, with little to no additional consumer influence. Advertising formats largely remain the same, but advertising inventory is increasingly bought and sold through efficient open exchanges, bypassing traditional intermediaries.

Consumer Choice: Tired of intrusions, consumers exert more control over the advertising they view and filter. Formats evolve to contextual, interactive, permission-based and targeted messaging to retain attention.