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31 janv. 2010

Chaque fureteur possède sa propre empreinte

Je me doutais que c'était possible avec tous nos add-ons et leurs différentes versions qui sont installés sur nos fureteurs et après avoir tester Panopticlick aujourd'hui, avec plus de 430,000 autres testeurs en date d'aujourd'hui l'empreinte de mon fureteur était unique.

Par contre si je refais le test dans une semaine, elle sera probablement encore unique, car sur mes dizaines des add-ons je fais 2-3 mise à jour par semaine. Donc, ma "repérabilité" est donc qu'à très court terme !

24 janv. 2010

Campagne publicitaire télé vers le Web : Un coût de conversion effarant

Un de mes clients dans le domaine touristique a fait une campagne publicitaire TV2Web (le "lead" étant des noms de domaine) cet hiver. Cette fois, (mal)heureusement ils ont écoutés mes conseils et pris des nouveaux noms de domaine qui redirigeaient vers une toute nouvelle section du site dédiée à cette campagne.

Cette section a été toutefois malheureusement lié sur le site du client et aurait dû être normalement totalement orpheline, ce qui aurait été plus précisément monitorable dans les statistiques Web.

Voici les détails et deux scénarios de coût pour le retour sur investissement. Un scénario optimiste et un scénario réaliste.

Les chiffres

Coût moyen de diffusion et de tournage d'une publicité télé de 30 secondes dans les médias nationaux en période de grande écoute : Entre $ 850 et $1,000 par diffusion.
Durée : Environ un mois
Diffusion : Principaux réseaux francophones

Les scénarios du coût de revient

J'ai fait deux scénarios de coût de revient pour deux raisons. L'interprétation des chiffres des statistiques d'Analytics peuvent être fait de diverses manière (landing page, top content, tracking events), et ce même avec des suivis d'événements. L'autre raison est une diffusion en média traditionnel sans ghettorisation du contenu ciblé et sans tatouage spécifique des accroches (leads) des différents diffuseurs pour une meilleure veille.

Les scénarios

Total scénario optimiste = 8,705 (Pages vues de toute la section visée pour la période de diffusion + 1 semaine supplémentaire)
Total scénario réaliste = 1,580 visiteurs (suivi d'événements + 10% de visiteurs égarés "timeout")

Coût de la production + diffusion/8,705 = $18.95 du visiteur (scénario optimiste)
Coût de la production + diffusion/1,580 = $104.43 du visiteur (scénario réaliste)

Ici on ne voit encore que des visiteurs, on est loin du client !!!

Conversion

La conversion normale d'un site se situe entre une fraction de 0.5% et 5% dans le meilleur des mondes en 2010. Un site de commerce électronique a habituellement de 1% à 3% et dans la majorité des cas c'est plutot autour de 1%. Mais dans ce cas-ci le client ne doit pas simplement remplir un panier d'achat et peser sur Enter, il doit se déplacer sur une bonne distance pour effectuer son activité et dans une bonne proportion réserver aussi son hébergement. J'ai donc fait ici aussi deux scénarios de conversion. Un scénario à 3% qui est très optimiste et un scénario à 1% qui est encore à mon avis assez généreux mais plus réaliste.

Conversions du scénario optimiste

8,705 * 3% = 261 clients
8,705 * 1% = 87 clients

3% de conversion = $ 632.18 du client
1% de conversion = $ 1,896.55 du client

Conversions du scénario réaliste

1,580 * 3% = 47 clients
1,580 * 1% = 16 clients

Coût de revient du client en scénario réaliste

Coût de la production + diffusion/47 clients = $ 3,510.63
Coût de la production + diffusion/16 clients = $ 10,312.50

Je ne comprends pas qu'une telle somme soit dépensé en télévision alors que dans le domaine du tourisme, c'est majoritairement le Web qui est utilisé comme vecteur touristique. De plus, je ne comprend pas que ce client n'ai pas veiller en temps réel sa campagne pour valider l'efficacité de celle-ci. J'ai fait l'exercice suivant pendant une diffusion. Pendant la première d'une émission de très grande écoute «Prime Time» j'ai suivit la réponse de la diffusion de la publicité grâce à Woopra. Résultats 6 visiteurs dans les 10 minutes suivant la publicité. J'ai ensuite fait, pour m'amuser, un petit gazouilli sur Twitter et j'ai eu 15 visiteurs grâce aux 2,000 "suiveurs" de mon compte !!!

Oui je sais, une publicité télé donne aussi de la notoriété, mais la même chose est vrai sur le Web avec le phénomène de la "longue traîne". De plus, avec le temps passé sur le Web qui dépasse maintenant le temps devant le petit écran, des efforts de suivit serrés de vos campagnes traditionnelles devrait être un de facto et vous pousseront à réinventer et diversifier vos stratégies marketing plutôt que de faire de l'égo-publicité.

Notes
  • Près de 20% des visiteurs n'ont pas tapé le nom de domaine affiché dans la publicité mais plutot fait une recherche sur les mots-clés du nom de domaine.
  • Le gros du trafic généré l'a été dans la première semaine de diffusion des publicités.

19 janv. 2010

Ecrire pour le Web en 2010

Une des très bonnes présentations sur l'écriture Web que j'ai vu à ce jour. La seule petite chose qui manque est la vérification des tendances des mots-clés grâce à des outils comme Google Insights !!

8 janv. 2010

Facebook reprend sa croissance au Canada

La fin de l'année 2009 a été bonne pour Facebook au Canada. Après des pertes de membres canadiens fin 2008 et début 2009, Facebook a maintenant 14,113,940 canadiens inscrits, un record à ce jour.

7 janv. 2010

5 janv. 2010

Vers la 2eme decennie du rayonnement Web

Les réseaux sociaux et le marketing des MOMs (mini ordinateur mobile ;-) ne seront plus l'apanage des départements de marketing, ressources humaines et des communications dans la prochaine décennie et commenceront à transformer le reste de vos organisations.

Dans les départments B2B, dans la recherche et développement, dans la facturation et les finances, des RH et du recrutement, du service à la clientèle, le marketing médias sociaux/mobile (qui devra être géré adéquatement dans le 2e cas) fera une grande percée dans ces départements dans cette deuxième décennie du troisième millénaire.

L'arrimage social des sites corporatifs sera aussi une tendance forte de cette fin de deuxième décennie. Après s'être épivardé dans de multiples médias sociaux où la veille et la gestion des UGC, le rappatriment des contenus et conversations via des APIs seront une obligation vers la fin des années 2010.

Une autre tendance à venir sera la segmentation marketing pour chacun des canaux de communication. Ceci est obligatoire sil l'on veut véritablement mesurer le RSI (ROI) d'une campagne sur un réseau social spécifique. Donc chaque campagne devra être unique à chaque média social ciblé et ceci est parfaitement logique car nos "amis"/"suiveux"/"abonnement" sont habituellement de niche assez différente selon chaque média social.

27 oct. 2009

Pourquoi j'aime bien la A(H1N1)

Je le sais que ce n'est pas gentil et comme vous je ne suis plus capable d'en entendre parler mais cette cette grippe possiblement pandémique fait bien mon affaire.

Pourquoi je ne déteste pas trop la A(H1N1) et sa surmédiatisation ?

  • Le premier point est que je travaille à distance et que je rencontre rarement mes clients en réel sauf pour des formations. Donc, mon boulot est à risque très limité.
  • Le deuxième point encore plus important est que je travaille beaucoup dans le milieu touristique et une bonne proportion des personnes du secteur marketing passe en moyenne 25% de leur temps (et de 30 à 50% de leur budget) à rencontrer des potentiels clients et "tours operators" ou monter des shows et congrès de l'industrie du tourisme même si 80% des touristes, eux, vont principalement sur le Web pour magasiner leurs vacances.
Ainsi le spectre de la méchante A(H1N1) me donnera un autre solide argument pour une redistribution des efforts marketing sur la Toile pour le milieu touristique.

20 oct. 2009

Le Canada est dans le peleton de queue pour la qualite et les prix d'acces Internet

Voici quelques données tiré de l'étude très complète de 232 pages de The Berkman Center for Internet & Society pour le FCC (Federal Communications Commission) américain.



Voici quelques perles :
Here, our multidimensional benchmarking approach offers substantial new insights. Canada, for example, is often thought of as a very high performer, based on
the most commonly used benchmark of penetration per 100 inhabitants. Because our analysis includes important measures on which Canada has had weaker outcomes—prices, speeds, and 3G mobile broadband penetration—in our analysis it shows up as quite a weak performer, overall.
The highest prices for the lowest speeds are overwhelmingly offered by firms in the United States and Canada, all of which inhabit markets structured around “inter-modal” competition—that is, competition between one incumbent owning a telephone system, and one incumbent owning a cable system. The lowest prices and highest speeds are almost all offered by firms in markets where, in addition to an incumbent telephone company and a cable company, there are also competitors who entered the market, and built their presence, through use of open access facilities.
For example, Italy is only 22nd out of 30 in fixed broadband penetration per 100 but, as we shall see, is fifth in mobile broadband penetration. Canada is a second quintile performer in penetration (down from having penetration levels second only to South Korea's in 2003), but only a fourth quintile performer on speeds and prices. Keeping an eye out for these kinds of discrepancies allows us to identify false “successes” and false “failures,” or be more precise about what aspects of a country's performance are worth learning for adoption,
and which are worth learning for avoidance.

Among the higher performers in general broadband penetration, some indeed do have relatively low broadband penetration for small businesses: Canada (93.7%), the UK (92.1%), and Sweden (94.1%). The rest of the countries that have high penetration per 100 inhabitants also have penetration rates above 95% even in these smaller businesses.


19 oct. 2009

Publicité et agences : Deux ans plus tard, ont-ils compris ?

Voici une étude qui a été publié en septembre 2007 par IBM et intitulé "The end of advertising as we know it" et que j'avais cite ici en novembre 2007.

Note: J'ai ajouté quelques points en gras et insertions en vert)

IBM prédit la fin de la publicité telle que nous la connaissons - Septembre 2007

Le groupe Services d’affaires mondiaux IBM vient de publier son dernier rapport, The End of Advertising as We Know It (La fin de la publicité telle que nous la connaissons), dans lequel il prévoit que l’industrie de la publicité connaîtra dans les cinq années à venir une perturbation d’une ampleur inégalée au cours des 50 dernières années. IBM a réalisé un sondage auprès de plus de 2 400 consommateurs et 80 directeurs de la publicité à l’échelle mondiale. Les résultats révèlent que l’habilitation grandissante des consommateurs, l’autosuffisance accrue des annonceurs et les technologies en constante évolution sont en train de redéfinir la vente, la création, l’utilisation et le suivi de la publicité.

Ainsi, les joueurs du monde de la publicité traditionnelle risquent de voir leurs recettes chuter alors que les budgets seront rapidement réaffectés à de nouveaux formats interactifs, dont la croissance prévue sera de cinq fois celle de la publicité traditionnelle. Pour survivre au sein de cette nouvelle réalité, les diffuseurs doivent changer leur attitude ancrée vis-à-vis du grand public et répondre aux besoins des segments de consommation par créneau et les agents de distribution doivent offrir de la publicité interactive ciblée pour une vaste gamme de dispositifs multimédias. Les agences de publicité doivent expérimenter sur le plan de la création, se transformer en courtiers de données sur la consommation et orienter l’affectation des dollars de publicité au sein d’une explosion de choix. Tous les concernés doivent s’adapter à un univers dans lequel l’achat et la vente de publicités se font de plus en plus dans des marchés ouverts plutôt que par les voies traditionnelles.

« L’adoption du divertissement numérique se fait beaucoup plus rapidement qu’on l’avait prévu. Le milieu de la publicité doit donc complètement réorienter ses activités afin de répondre aux besoins de consommateurs qui, de plus en plus, accèdent à du contenu dans des formats non linéaires, précise Bill Battino, associé délégué du secteur des communications, Services d’affaires mondiaux IBM. Les entreprises doivent revoir leur façon de présenter le contenu aux consommateurs grâce à des modèles de gestion qui sont davantage axés sur l’engagement des consommateurs dans une relation. »

Le rapport dégage quatre moteurs du changement qui font pencher la balance des pouvoirs de l’industrie de la publicité : le contrôle de l’attention, la créativité, la mesure et les stocks de publicités. Comme l’indique le sondage mondial d’IBM sur les médias et le divertissement mené auprès des consommateurs et publié en août, l’attention des consommateurs s’est déplacée et le temps de navigation dans Internet à des fins personnelles rivalise désormais le temps d’écoute de la télévision.

Les consommateurs en ont assez de la publicité interruptive et prennent de plus en plus les commandes du filtrage, de la distribution et de l’utilisation de contenu et des messages publicitaires qui leurs sont associés ainsi que de l’interaction avec ceux-ci. Les résultats du sondage d’IBM révèlent que la moitié des propriétaires de magnétoscope numérique visionnent 50 % ou plus de la programmation en différé et que la publicité télévisée traditionnelle est impossible à transposer en ligne : 40 % des répondants considèrent la diffusion de publicités au cours d’un segment vidéo en ligne plus irritante que toute autre forme de publicité. De plus en plus d’amateurs et de semi-professionnels créent du contenu publicitaire à peu de frais et menacent du fait les agences de création (Ex : lipdub). Quant aux maisons d’édition et aux diffuseurs, ils étendent leurs rôles de création. Les annonceurs réclament une responsabilité et des mesures plus précises relatives au consommateur, et ce, pour toutes les plateformes publicitaires. Les marchés publicitaires libre-service s’accaparent des recettes qui étaient autrefois l’apanage de canaux ou de transactions exclusives.

Les attentes des experts en publicité sont conformes aux tendances mondiales en matière de consommation.

La recherche d’IBM révèle que la nature changeante des consommateurs n’a pas échappé aux experts en publicité, qui voient également poindre des changements profonds à l’horizon. Plus de la moitié des professionnels de la publicité interrogés par IBM s’attendent à ce que, au cours des cinq prochaines années, les marchés publicitaires ouverts (qui sont actuellement dirigés par des sociétés telles que Google, Yahoo et AOL) s’approprient 30 % des recettes que recueillent actuellement les diffuseurs et les médias traditionnels. Près de la moitié des répondants au sondage prévoit une réduction sensible (supérieure à 10 %) des recettes provenant du message publicitaire de 30 secondes dans les cinq prochaines années et presque 10 % des répondants sont d’avis que cette réduction sera importante (supérieure à 25 %). Les deux tiers des experts en publicité interrogés par IBM prévoient que 20 % des recettes publicitaires passeront des formats de publicités par impressions aux publicités par chocs en l’espace de trois ans.

« La publicité demeure une partie intégrante de la culture populaire et continue de financer une partie importante du divertissement partout dans le monde, explique Saul Berman, chef du groupe-conseil Stratégies et changements, Médias et divertissement IBM. Elle doit néanmoins s’adapter aux nouveaux formats et offrir une valeur plus intrinsèque aux consommateurs, qui disposeront de plus de choix. Compte tenu de la mine de nouveaux débouchés publicitaires, l’analyse des consommateurs jouera un rôle plus prépondérant que jamais quelle que soit la position d’une entreprise dans la chaîne de valeur. Les jeunes en particulier n’ont pas l’habitude de payer pour obtenir du contenu. En dépit du contrôle plus étroit qu’exercent les consommateurs sur le contenu et la publicité, nous imaginons un monde dans lequel ces derniers continueront de préférer le visionnement de publicités au paiement direct pour du contenu. »

Selon le rapport d’IBM, d’ici 2012, le paysage de l’industrie connaîtra une transformation si profonde que les joueurs de l’industrie de la publicité, afin de survivre, devront prendre des mesures énergiques pour innover dans trois domaines clés :
  • Consommateurs - Faire de la microsegmentation et de la personnalisation les éléments suprêmes de la mise en marché.
  • Modèles de gestion - Le mode et le lieu de vente des stocks de publicités, la structure et les formes de partenariats, les modèles de recettes et les formats de publicité. ·
  • Conception et infrastructure commerciales - Tous les concernés doivent repenser les ressources organisationnelles et d’exploitation du cycle de vie publicitaire afin de soutenir l’innovation à l’égard du consommateur et du modèle de gestion : rapports sur l’analyse des consommateurs, la planification des canaux, la achat et la vente, la création, la prestation et l’impact.
IBM croit que tous les joueurs devront investir de façon importante dans l’analyse des consommateurs et l’automatisation afin d’en apprendre davantage sur ces derniers et sur la façon de les joindre. Par exemple, la publicité interactive jumelée à des données d’analyse sur la consommation fournit des renseignements probants sur qui a visionné une publicité et y a donné suite plutôt que des estimations d’impressions, et permet donc aux annonceurs de maximiser leurs recettes et la gestion de la recette unitaire. Les joueurs de l’industrie devront par ailleurs vérifier s’ils disposent des ressources et des moyens nécessaires pour prendre en charge un plus grand nombre de promotions de mise en marché et de ventes de publicité intégrée. Enfin, IBM a noté que la montée en flèche du nombre et de la diversité de promotions entraîne un investissement accru dans des outils qui servent à transformer numériquement les flux des travaux des entreprises, dont les processus de gestion de contenu, de création, de production et d’approbation, ainsi qu’à en réduire le coût.

Autres faits saillants de l’enquête :

Attitudes des consommateurs vis-à-vis de la publicité

  • Les magnétoscopes numériques permettent d’ignorer les publicités à grande échelle : La moitié des propriétaires de magnétoscope numérique visionnent 50 % ou plus de la programmation en différé (le taux d’utilisation du magnétoscope numérique au sein des répondants était d’environ 25 %).
  • Les formats de publicité télévisée traditionnelle sont impossibles à transposer en ligne : 40 % des répondants considèrent la diffusion de publicités au cours d’un segment vidéo en ligne plus irritante que toute autre forme de publicité.

Les comportements des consommateurs sont dictés par la génération à laquelle ils appartiennent.

Le sondage réalisé par IBM auprès de consommateurs à l’échelle mondiale révèle des différences importantes dans les comportements des ados « cool », des adeptes de gadgets et des « passifs massifs » :
  • Ados « cool » : Sont nombreux à utiliser les sources de contenu nouveau, gratuit et interactif (75 % dans des sites de réseautage personnel, <15>
  • Adeptes de gadgets : Sont deux fois plus portés à passer du temps en ligne qu’à regarder la télévision et cinq fois plus susceptibles de faire une contribution à des sites de contenu vidéo que les « passifs massifs » ; disposent d’un revenu élevé.
  • « Passifs massifs » : Sont davantage disposés à payer pour du contenu (répartition de 50-50), s’intéressent davantage aux expériences de détente - par conséquent, affichent le taux d’adoption le plus élevé pour la télé payante, les abonnements à des quotidiens en ligne.

Les consommateurs s’adonnent à la création

Les consommateurs participent de plus en plus à la création et à la diffusion de messages :
  • Les consommateurs fréquentent en grands nombres les sites qui subissent l’influence d’utilisateurs : Les sites de réseautage personnel (45 %) et les sites qui présentent du contenu produit par les utilisateurs (33 %) sont ceux dont l’adoption est la plus répandue au sein des répondants - plus élevée que la télé payante (24 %), les quotidiens en ligne (18 %) ou même les services musicaux comme iTunes (24 %).
  • Les utilisateurs fournissent de plus en plus de contenu : 26 % contribuent du contenu à des sites de réseautage personnel et près de 10 % à des sites de contenu vidéo comme YouTube.
  • Les utilisateurs sont des influenceurs de confiance : 32 % ont dit visiter des sites selon les recommandations d’amis, 60 % de ceux qui ont contribué du matériel l’ont fait pour la célébrité (reconnaissance) plutôt que pour l’argent (valeur pécuniaire).

Les annonceurs suivent les tendances des consommateurs

  • Entend réduire ses dépenses en publicité télévisée : 44 % des annonceurs ont dit prévoir une réduction sensible ou importante (c.-à-d., 10 % ou 25 % respectivement) de leurs dépenses en publicité télévisée au cours des cinq prochaines années en raison du changement du comportement du consommateur.
  • Veut des modèles de responsabilité : Deux tiers des professionnels de la publicité interrogés s’attendent à ce que 20 % ou plus des publicités par impressions passent aux publicités par chocs en l’espace de trois ans. Prévoit une perturbation : La majorité (>50 %) des répondants s’attend à ce que de nouveaux aggrégateurs en ligne (diffusion automatisée et à peu de frais des publicités) s’accaparent 30 % de la part des recettes des titulaires de médias en cinq ans.


Ont-ils compris ?

14 oct. 2009

Ma dernière presentation pour le domaine touristique

Présentation produite rapidement en dernière minute dû au délai serré pour l'Association des ATR du Québec. Comme le niveau technique de la clientèle m'était inconnu, je suis parti du Did You Know de 2006 en mettant à jour plusieurs diapos. C'est un peu "manger mou" au début mais ça se corse ensuite.


Liens de la présentation :
Étude bannières du MediaPost
Étude bannières du AdAge
Étude réseaux sociaux de Ruderfinn

2 oct. 2009

E-readiness 2009

Voici le rapport E-Readiness 2009 fait conjointement par The Economist (Intelligence Unit) et IBM Institute for Business Value



Si le Canada est maintenant au 9e rang, ce n'est pas tant que l'on ce soit amélioré (-o.16), mais plutôt que les autres ont déclinés. Comptez bien voir les Américains reprendre le haut du classement l'an prochain avec la crise économique en moins et un Obama au pouvoir.

Voic maintenant un tableau qui m'a fait sourire :

Regional e-readiness leaders: government policy and vision
Sans commentaire Stephen

29 sept. 2009

Douze questions que vous devriez demander à vos clients pour une meilleure vision de ses besoins en rayonnement Web

1. Avez-vous un plan de communication ?
2. Avez-vous une liste de domaines inutilisés que vous avez acheté, mais qui ne sont pas utilisé ou "stationné" ?
3. Annoncez-vous votre URL dans les points de vente de publicité hors ligne et est-que vous avez des pages spécifiques pour chaque campagne dans les médias traditionnels?
4. Est-ce que moins de 90% de vos pages de votre site sont indexées dans Google ?
5. Utilisez-vous du contenu aléatoire (random) en position stratégique (colonne de gauche ou en haut) sur vos premières pages ?
6. Utilisez-vous un blogue, Facebook, Youtube, Twitter, Google Vidéo pour promouvoir vos services? Si non avez-vous au moins réservé vos noms de marque ou de cie ?
7. Dans quel pays sont hébergés vos sites Web et où est votre clientèle cible ?
8. Avez-vous des archives pour votre contenu moins pérenne ?
9. Utilisez-vous des contenus insérés "Embed" (widgets, calculatrices) qui utilisent des chaînes de caractères dynamique ou des nuages d'étiquettes ?
10. Vos numéros de téléphone, adresses postales et e-mail et contact sont-ils à jour et uniquement utilisés sur le Web ?
11. Êtes-vous passionné par le Web ou au pire regardez-vous vos statistiques Web une fois par mois ?
12. Où voyez-vous vos efforts de marketing en ligne à moyen terme ?

18 sept. 2009

En hommage a Renee Whatelet


Entre rage, incomprehension et infinie tristesse

On s'était connu par Flickr il y a quelques années, on s'est suivit aussi par nos blogues et réseaux sociaux. On s'est rencontré dans les YulBlog et Yulbiz, on se parlait par Skype chaque mois, elle était parfois ma rédactrice/correctrice pour des mandats. Nous avions décidés de quitter tous les deux Montréal à peu près en même temps et ont appréciait que le Web nous permettre d'être des nomades numériques.



Je regarde mon Skype, vois ton nom et je rêve que ce gris revienne au vert.

Un beau portrait d'elle
Le connard

17 sept. 2009

La part des mobiles sur deux continents

Site d'un média en France sur un échantillon de 2,2M/VU pour un mois
Fureteur et SE
Pourcentage
Safari / iPhone
1.40%
Safari / Symbian OS
0.49%
NetFront / Sony
0.15%
Safari / iPod
0.14%
NetFront / Samsung
0.11%
BlackBerry9530 / BlackBerry
0.06%

Portail Québécois avec un échantillon de 1,1M/VU


Fureteur et SE
Pourcentage
Safari / iPhone 0.34%
BlackBerry9530 / BlackBerry
0.01%


Morale : Bas ;-)

11 sept. 2009

L'esclavage technologique et les petits moutons canadiens

Vous pensiez que l'esclavage avait disparu au Canada ? Bande de caves ! Pour travailler dans ce 21e siècle nous dépendons tous de moyen de communication. Et certains requins l'ont bien compris. Les Bell, Telus et quelques autres cie de télécom nous charge en moyenne plusieurs centaines de dollars par année de plus que la grande majorité des autres habitants de cette planète pour les plans téléphonie et données.

Et pourtant dans cet article de la CBC Canadian cellphone rates among world's worst du mois d'août dernier on lisait ceci ce qui redonnait un peu espoir :
The poor showing was not surprising — the Canadian government has acknowledged that rates are too high and are contributing to lagging cellphone usage. Canada now ranks last for cellphone users per capita in the OECD, having been surpassed by Mexico since the organization's previous study.
Mais évidemment les requins ont sentis la soupe chaude et ont vu que le ministère de l'industrie allait nous fournir un simple outil pour déméler les plans et forfaits outrancieusement compliqués que les telcos nous affligent. Alors les lobbyistes de ces telcos ont fait pression auprès du ministre conservateur et vlan!!! Finis l'outil qui aurait probablement démontré combien on se fait fourrer.

Et la meilleure, on va payer 1,4 millions de dollars de nos taxes pour avoir développer et ensuite flusher cet outil ! Tous en coeur !

10 sept. 2009

La veille Internet sert aussi au R&D et a la production

Dans un contrat passé, il y a presque 2 ans maintenant, j'ai découvert qu'avec de bons outils de veille internet on peut aussi aider des départements de R&D et de production.

Le cas

En regardant mon aggrégateur j'ai remarqué un matin qu'il y avait une certaine effervescence sur divers sites et réseaux sociaux (sans que mon client n'y ai rien à voir) sur un nouveau prototype beta qui fut présenté, - et donc photographié, lors d'un salon spécialisé aux États-Unis. Après quelques jours la vague était vraiment devenu un petit tsunami, tellement qu'après 10 jours les données de ma pipe recueillis sur ce nouveau prototype éclipsait déjà le produit vedette du client qui existait depuis 2 ans. Coup de fil au client pour avoir du département de production les chiffres de production du produit vedette et ceux envisagé pour le prototype. Suite à l'engouement et les commentaires positifs sur les blogues, Facebook et Flickr, je fis la suggestion de quintuplé la production du prototype. Résultat: Après 2.5 mois le prototype était déjà en rupture de stock ;-)

Coût : Moins de 2,500$
Gains : Plusieurs centaines de milliers de dollars

31 août 2009

Twitter et son potentiel effet boule de neige



Ce nouvel outil que nous offre IceRocket permet à la base de trouver des followers communs ainsi que des "friends" où il y a réciprocité de veille. Mais à la base, la donnée la plus marquante est le potentiel de diffusion énorme qui atteind ici (1,758,261 subfollowers) grâce à Michelle Blanc avec ses 5,626 followers combiné à mes 1,584 petits copains qui me suivent aussi.

Une autre point d'intérêt pour ce nouvel outil est de faire de la segmentation de niche pour le marketing. Qui suit Pauline Marois, Jean Charest et Radio-Canada ou encore qui suit le Christian Science Monitor et la Nasa ? De cette manière vous pourrez facilement trouver des followers plus intéressé par votre niche.

28 août 2009

Google Maps : Liens commerciaux avec pictogramme

Voici deux captures d'écran où il apparait maintenant des pictogrammes commerciaux sur Google Maps :

Ici le pictogramme d'hôtel (cliquez l'image pour agrandir)


J'aimerais bien avoir des données sur le rendement probablement assez élévé de ce nouveau lien commercial ?

J'ai testé plusieurs villes au Canada et c'est uniquement sur Montréal qu'il y en a pour le moment !