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12 oct. 2010

Google Social tisse un peu trop large et fait un peu peur !

Voici un des mes "amis" sur Google Social et le nombre de sites visés par Google pour établir les connections entre individus :

Digg, Furl, Tumblr, identoo.com, Ziki, Blogger (Blogspot), icq.com, Picasa Web Albums, 12seconds.tv, technorati.com, openid.claimid.com, lifestream.fm, dabble.com, perssonas.com, profiles.yahoo.com, Last.fm, technorati.com, technorati.com, profilactic.com, GitHub, Google Code, Google Profile, perssonas.com, mon-ami.tinyid.us, dandyid.org, sourceforge.net, dabble.com, librarything.com, blip.fm, Ziki, dabble.com, drupalsn.com, rym.waglo.com, getsatisfaction.com, Blogger (Profile), Flickr, Google Reader, Upcoming, mon-ami.dotnode.org, Dopplr, dandyid.org, rym.waglo.com, Jaiku, gitorious.org, Vimeo, mon-ami.myopenid.com, LinkedIn, del.icio.us, plurk.com, ohloh.net, mon-ami.soup.io, mon-ami.status.net, claimid.com, Blogger (Profile), WordPress, Ziki, del.icio.us, librarything.com, lifestream.fm, technorati.com, icq.com, mon-ami.info, technorati.com, MyBlogLog, librarything.com, Flickr, backtype.com, Picasa Web Albums, Upcoming, identoo.com, wordnik.com, mon-ami.mp, mon-ami.mp, brightkite.com, vi.sualize.us, dandyid.org, YouTube, Blogger (Blogspot), jyte.com, simpy.com, sourceforge.net, odeo.com, Threadless, robin.mon-ami.info, Ziki, StumbleUpon, microrevie.ws, identi.ca, getsatisfaction.com, profile.typekey.com, Pownce, consumating.com, mon-ami.43people.com, dabble.com, librarything.com, answers.yahoo.com, Twitter, corkd.com, Wakoopa, Flickr, zorpia.com, 506084833.etsy.com, yedda.com, brightkite.com, Disqus, librarything.com, librarything.com, mon-ami.fotopic.net, evite.com, brightkite.com, LiveJournal, dabble.com, Flickr, YouTube, FriendFeed, Facebook, del.icio.us, consumating.com, intensedebate.com, Facebook, technorati.com, Tribe.net, Flickr, librarything.com, news.google.ca, librarything.com, Twitter, digital-copyright.ca, blogsearch.google.ca, plurk.com



C'est assez épeurant finalement de faire des liens entre individus des fois uniquement à cause d'un retweet (RT) !!!
Via Descary

27 sept. 2010

Jean Charest démissionne ?


C'est pas moi qui le dit, c'est la boîte de suggestions de Google.
Dans une note plus sérieuse, voici un des premiers billets que je vois sur les impacts du nouveau Google Instant qui gère les recherches en temps sur le site américain de Google.

22 sept. 2010

Ma checklist du contenu SEO d'un site

  • Générer la liste des mots-clé utilisés dans le site
  • Vérifier le volume de recherche de la forme (singulier, pluriel) de vos mots-clé
  • Sortir la liste des mots-clés référents des statistiques web
  • Vérifier le volume de recherche des mots-clé selon la clientèle cible
  • Vérifier le volume de recherche des synonymes de vos mots-clé
  • Vérifier le classement de vos mots-clé
  • Vérifier les compétiteurs sur vos mots-clé
  • Vérifier les compétiteurs sur leurs mots-clé
  • Vérifier vos mots-clé dans les balises title
  • Vérifier que chaque balise title soit unique
  • Vérifier les balises meta description
  • Vérifer la pérenité de vos contenus texte
  • Vérifier vos mots-clés dans les urls, balise heading, mots en gras et italiques
  • Vérifier vos mots-clé dans le fil d'ariane et dans les ancres des liens internes
  • Vérifier vos mots-clés dans les balises alt d'images qui servent de liens
Voir aussi Ma checklist SEO de l'accessibilité d'un site

21 sept. 2010

Ma checklist SEO de l'accessibilité d'un site

Depuis 15 ans, je crois que je n'ai jamais vu un seul site qui passait ce simple test d'accessibilité pour les moteurs de recherche et qui pourtant devrait être le defacto d'un bon site Web.
  • Le robots.txt est-il présent et que contient-il ?
  • Le htaccess est-il présent et que contient-il ? 301, 302 ?
  • Une redirection anti-canonicalisation est-elle effective ?
  • Une carte du site est elle présentée en cas d'erreur 404 ?
  • Le site a-t'il un sitemap.xml et est-il à jour ?
  • Le site dispose-t'il d'un Favicon ?
  • Est-ce que le site a des défaillances dans la programmation dynamique ou dans du /iframe/javascript ?
  • Est-ce que le site a des mots-clé importants dans du flash ?
  • Est-ce que le site a des mots-clé importants dans des images gif/jpge/png ?
  • Est-ce qu'il y a des pages qui sont a plus de 3 clics de la page d'accueil ?
  • Le site a-t'il un fil d'Ariane ?
  • Le site a-t'il un gestionnaire de contenu (cms) ? Ouvert ?
  • Les alt ont-ils des textes ?
  • Le poids du code des pages dépasse-t'il 60k ?
  • Combien de pages sont indexées ?
  • Combien de liens externes vers le nom de domaine ?
  • Le site a-t'il au moins deux outils de statistiques ? Un en temps réel ?
  • Le site a-t'il des liens brisés ?
  • En lisant un URL s'aurez-vous ce que la page contiendra ?

9 sept. 2010

Fournisseurs Internet au Québec : Vidéotron grand gagnant

Voici quatre tableaux de site Québécois bilingue qui illustre les parts de marché des fournisseurs internet. Même le dernier graphique qui représente un site hébergé chez Bell, nous indique que Vidéotron à presque toujours deux fois plus d'abonnés internet que Sympatico.




Note : Par contre pour des sites unilingue anglophone, Sympatico s'en tire beaucoup mieux. Encore notre dualité ?

6 sept. 2010

Croissance appréciable des mobiles

Les téléphones "intelligents" font finalement une percée dans le marché Web canadien, une demi décennie après l'Asie et 2-3 ans en retard sur le vieux continent.

Même sur des sites non optimisé pour les petits écrans, la croissance double en moins de 10 mois comme le montre ce graphique d'un portail communautaire.



Ou cela devient plus intéressant, c'est pour les sites reliés au tourisme où la croissance est impressionante avec près de 7 fois plus de visiteurs mobiles en 10 mois.


Ici, on voit bien l'avantage d'un site optimisé pour mobile avec une croissance du trafic de plus de 15 fois où en novembre dernier 700 visiteurs provenaient de mobiles et en juillet 2010 le traffic a atteind 12,000 visiteurs.

Si vous avez remarqué dans les graphiques précédents, les mobiles ont vraiment fait un bond appréciable depuis le mois de mai. Mai, n'est-ce pas au lancement du iPad ? Oui, mais le iPad même avec une troisième ou quatrième place dans les référents, ne semble pas la cause du spectaculaire bond dans les statistiques. Je soupçonne plutôt la compétition accrue dans les telcos et la baisse des prix des forfaits "data" des fournisseurs.

Les parts de marché

APPLE. Steve Jobs domine outrageusement chez tous mes clients et détient la grosse part du marché avec le iPhone entre 49% et 60%, le iPod autour de 22% et le iPad qui pointe depuis mai avec près de 18% des parts de marché. Ce qui fait que Apple détient pour le moment 90% du marché et que Android qui supposément avait fait des ventes supérieures aux produits I, ne performe pas très bien avec de 2 à 3% de part de marché sur les sites Web ! Possiblement que les abonnés de la Pomme sont plus fortunés et surf plus avec leur cell.



Note: Le mobile ne représente encore que de 1% à 3% du trafic, mais je suis certain que la barre des 5 à 10% devrait être atteind au début de 2011.

23 juin 2010

Truc simple pour diagnostiquer votre indexation et positionnement Web

Hé oui, on est en 2010, plus de 15 ans après la naissance de la toile, et plusieurs personnnes ne savent pas encore comment savoir si leur site a un problème d'indexation ou de positionnement. L'indexation est tout simplement la présence ou l'absence de votre site dans les base de données des moteurs de recherche. Le positionnement c'est être présent et être en bonne position, dans les résultats des moteurs de recherche.

Dans ce cas-ci nous allons voir qu'il y a tout de même indexation, mais un très sérieux problème de positionnement.

Truc hyper simple pour vérifier votre indexation :

  1. Aller sur une page de votre site
  2. Sélectionner une phrase d'au moins une dizaine de mots
  3. Copier le texte (sans puce ou boulet)
  4. Aller dans Google
  5. Ajouter un guillemet au début de la case de recherche et coller votre texte (le guillemet final n'est point nécessaire)
  6. Si votre site n'apparaît pas vous avez un problème de positionnement
  7. Cliquer sur "relancer la recherche en incluant les pages ignorées"

Étape : 1-2-3


Étape : 4-5-6


Étape : 7
Finalement le site apparaît (en bas ici), mais pourquoi il n'est pas dans la première recherche ? Dans ce cas-ci, cette dame a utilisé les services d'une boite qui offre un service de location de site pour son secteur d'activité, - et qui malheureusement pour elle -, réplique exactement les mêmes textes pour tous ses clients !!! Donc, Google pénalise ce type de pratique et ne liste qu'un seul site qui utilise cette phrase.

17 juin 2010

Rêve de convaincre un jour un client d'avoir le dixième de ceci en veille internet

Trop drôle de voir ceci après avoir fait un devis sur un client qui a 5 millions de visiteurs par mois et qui n'a même pas le millionième des informations statistiques et de veille que Gatorade a!!!

9 juin 2010

Étude de cas de veille 2.0 et de bonne représentation

Je suis tombé sur cette discussion dans un forum spécialisé sur les systèmes d'aspiration centralisée et j'ai été un peu surpris par la très bonne communication entre un représentant d'une firme d'aspiration centralisée et une cliente potentielle.

En fouillant un peu plus dans ce même forum, j'ai aussi vu comment ce représentant a dû faire face à une critique négative sur sa marque. Il s'en est remarquablement bien tiré!

Ce fera un bon exemple pour mes clients qui se lancent dans l'aventure du 2.0, c-a-d d'ouvrir ses communications bi-directionellement.

3 juin 2010

Sécurité sur Facebook : Sécuriser vos accès

Il y a de plus en plus de piratage de compte Facebook. Voici un moyen simple d'en être avisé rapidement :

  1. Ouvrez le menu votre compte
  2. Sélectionnez modifier votre compte
  3. Cochez Oui si c'est votre propre ordinateur (et non pas celui d'un café internet ou d'une bibliothèque
  4. Déconnectez-vous de Facebook
  5. Reconnectez-vous
  6. Entrez un identifiant pour votre ordinateur
  7. Cochez "Ne plus me poser la question depuis cette ordinateur" si vous ne voulez pas recevoir un courriel à chaque connexion.
  8. Vous pouvez répéter les point 4 à 8 pour un nouvel ordinateur.
  9. Ainsi si quelqu'un se branche sur votre compte à partir d'un autre ordinateur vous serez automatiquement avisée et vous aurez peut-être le temps d'aller changer votre mot de passe, sinon au moins vous pourrez aviser Facebook avant que le petit malin ne fasse trop de dégats à votre image !

30 mai 2010

Danger pour Wall Street et les courtiers ordinaires ?

Je trouve surprenant que Google où tout autre compagnie qui a accès à des milliards de données en temps réel puissent avoir leur propre équipe boursière ? Le FTC dort-il au gaz ?

Quand tu as entre tes mains la plus grande base de données des intentions des consommateurs à travers la planète et que tu puisses mettre dans la même compagnie une équipe boursière il me semble que ceux-ci jouissent d'un ÉNORME avantage versus tous leurs compétiteurs, non ?

11 mai 2010

Google / DoubleClick se surpasse en France

Et vive la France...
Cliquez sur la capture d'écran pour agrandir

... et l'annonce anglaise sur un site d'un dictionnaire français !!!

26 avr. 2010

Taux de clics sur bannières dans le monde

L'étude Comscore nous révèle ce tableau sur les taux de clics à travers le monde :



Oui, oui, je sais, le taux de clics n'est pas tout mais deux choses me chicote. Des phrases comme celle-ci que j'ai traduite au mieux de ma connaissance de la langue de Shakespeare:
Dans une récente enquête européenne [i] par comScore, les visiteurs qui ont vu une annonce d'affichage ont été 72% plus susceptibles de visiter le site Web d'un annonceur et 94% plus susceptibles d'exercer une activité de recherche sur la marque de l'annonceur que ceux qui ne voyaient pas les annonces.
C'est quand même assez rigolo non ?

La deuxième est :

Est que vous croiriez un sondage sur les élections fédérales canadienne à venir fait et payé par la firme de relation publique du Parti conservateur ? Alors, pourquoi on ne voit quasiment jamais d'études universitaires, ou indépendantes, sur les bannières ?

20 avr. 2010

Les influenceurs des réseaux sociaux

Deux études aujourd'hui sur les influenceurs par Forester. La première sur le blog de Augie Ray de Forester où on voit que :



Même si ils ne représente que 6.2% et 13.4% des internautes, les disséminateurs de marques et les "virtuoses" du marketing sur réseaux sociaux influent sur 80% des présences de produits et services sur les réseaux sociaux.

Ensuite, encore chez Forester on mentionne plus du double, soit 500 milliards d'impressions influençables après avoir extrapollé sur le phénomène du WoM !

15 avr. 2010

Lavage de réputation sur le Web

Je viens de recevoir un courriel qui me sollicitait pour avoir des informations sur le "lavage" de réputation sur le Web. J'ai d'ailleurs eu 2-3 cas du genre par le passé dont un par une personne que j'avais moi-même critiqué pour des agissements vraiment pas très éthique.

Primo, on ne peut "laver" une réputation sur le Web, à moins de pouvoir retirer les informations compromettante à coup de mise en demeure ou avec un autre moyen de persuasion, et ici encore, ceci prendra un certain temps dans les résultats des moteurs de recherche, à moins de faire une demande spécifique à Google pour manquement grave au droit de la personne/compagnie lésée.

Par contre, on peut balayer et mettre les informations incriminantes sous le tapis, c-a-d en deuxième ou troisième page des résultats de Google. Comment ? Avec de la patience et avec l'aide des réseaux sociaux et du Web 2.0.

Ainsi, avec la création de blogues qui porteront votre nom et en vous inscrivant dans plusieurs réseaux sociaux "ouverts" (aux moteurs de recherche) comme Flickr, Daily Motion, Twitter, Identi.ca, Youtube et autres Facebook, vous pourrez ainsi balayer vos critiqueurs en deuxième ou troisième page de résultats. De cette manière en quelques semaines vous devriez ne plus voir vos critiques à moins de s'appeler Petrowski et d'attirer les foudres de la papesse ;-)

6 avr. 2010

Google Analytics : Qui vous lit ? : Liste des FAI canadiens et américains


C'est assez difficile de répérer quelles maisons d'enseignements, quels ministères ou grosses compagnies lisent votre blogue ou visitent votre site.

Dans Google Analytics vous allez normalement dans : Visitors -> Networks Properties -> Service Providers
pourvoir qui vous suit. Mais normalement la grande majorité des premières dizaines d'entrées du tableau seront des fournisseurs de service internet.

Alors si vous utiliser le filtre Excluding et que vous entrez la liste ci-bas de fournisseurs Internet canadiens et américains, vous serez en mesure de voir les universités, les ministères et réseaux des villes qui vous suivent le plus en plus des grosses compagnies.

videotron|sympatico|bell|isp|comcast|tele|internet|dsl|road runner|hse|service provider|telus|verizon|address|vodafone|sprint|network|cable|alltel|wifi|sac affaires vl|online|jazztel|easynet|clearwire|iinet|t-mobile|iunet|broadband|provider|comunitel|earthlink|proxad|fastwebs|armstrong|at&t|abts|cybernet|rcs & rds|singnet|coop|barrett|sogetel|distributelallstream|com inc.|maskatel inc|acn|reseau|distributel|colba|wireless|psinet|b2b2c|allstream|dynamic|teksavvy|pixelweb|uniserve on line|shaw communications|rocler inc.

Note: Faire attention aux retours chariots en copiant collant cette liste dans Analytics

26 mars 2010

Concierge de communauté

Je lisais la dernière partie de cette entrevue de Bruno Boutot de Kim Auclair sur un bon terme pour remplacer "animateur de communauté" qui pour moi aussi fait un peu trop GO de Club Med et ne reflète pas les mille et un autres aspects de ce nouveau métier de la communication :
Sur twitter, lors d’une discussion au sujet du terme : Community manager, tu disais de ne pas te reconnaître personnellement dans le terme » Community manager « .
Pas tout à fait. Si je me souviens bien, je disais que des Américains eux-mêmes étaient insatisfaits du terme et enviaient le français « animateur ». Même le terme « community manager » est relativement nouveau. Dans les online communities créées directement sur le Web avant ou peu après 2000, il y avait essentiellement 2 termes, « mods » pour « moderators » et « admin« .
Ces premières online communities ont été créées par des programmeurs, donc admin était un dérivé de sysadmin « administrateur de système » (et non « administrateur de société ou d’entreprise »).

- « Gestionnaire de communauté » n’est pas satisfaisant parce qu’il ne s’agit pas de gestion comptable et administrative.

- « Animateur de communauté » correspond à une partie du rôle mais a le défaut de le faire paraître anodin, circonscrit à la communauté (genre GO au Club Med) alors que c’est un rôle clef dans l’entreprise; c’est l’équivalent en média traditionnel de « rédacteur en chef » et j’aimerais un titre qui reflète cette indépendance, cette autorité et cette confiance (des dirigeants de l’entreprise comme des membres);

- « Directeur de communauté » serait sans doute le plus juste pour l’idée d’autorité et d’autonomie, mais « Hôte de communauté » dit la même chose en plus soft en ajoutant des notions d’hospitalité et d’animation.

- Dépendant des circonstances, je n’hésiterais pas à créer un titre reflétant l’entreprise et la description des tâches: « Serviteur en chef », « Metteur en scène », « Chef d’orchestre », « Réalisateur » par exemple.


De mon coté, je crois que "Concierge de communauté" (dans le sens hôtellerie) englobe une plus vaste partie de ce que ce poste exige comme bagage professionnel.
D'ailleur le mot communauté est le mot-clé pivot chez Sheraton.

25 mars 2010

Campagne publicitaire vers le Web : Les agences veulent-elles cacher le RSI ?

La plus fréquente erreur que je vois dans les campagnes traditionelle (télé, imprimée, radio) vers le Web au Québec (et ailleurs aussi) est que dans la très grande majorité des cas, c'est le nom de domaine principal qui est affiché/mentionné pendant la publicité !

Comment faîtes-vous alors pour quantifier votre nombre de visiteurs provenant de la publicité du trafic habituel provenant des moteurs de recherche, des liens externes vers l'accueil ou du trafic direct qui tape votre nom de domaine dans la barre d'adresse du fureteur ? Impossible.

Même avec l'heure de diffusion de la publicité en radio ou en télé, ce n'est pas assez précis surtout quand il y a près de 20% qui regarderont celle-ci sur support enregistré dans les heures ou les journées suivantes.

Donc, comment calculer un retour sur investissement si on a même pas la donnée primaire qui sont les visiteurs provenant de nos campagnes traditionelles ? Rien.

Regardons maintenant des publicitaires qui semble avoir compris quelque chose au Web et qui utilise des tatouages spécifiques "leads" chez TourismPEI :

Annonce 1 : format 15 secondes

Annonce 1 : Même que la précédente en format 30 secondes


Annonce 2 : Diffusion régionale

Annonce 2 : Même que la précédente en diffusion nationale


Ainsi avec des tatouages différents, on peut mesurer l'efficacité de chaque publicité selon la durée (15 ou 30 s.) et aussi monitorer les diffuseurs spécifiquement dans les statistiques Web des 2 dernières.

Cela s'applique aussi au téléphone

Vous remarquerez aussi que les numéros de téléphone de la première et la dernière publicité sont différents et probablement unique à chaque publicité, comme cela devrait être toujours le cas sur vos site Web. Ainsi quand le téléphone sonne dans votre service à la clientèle, vous savez si cela vient du Web, de votre publicité télé, de vos annonces imprimés ou encore de votre annonce radio car elle ont toutes des tatouages et numéros de téléphone distinct !

24 mars 2010

L'altitude bientôt sur Google Maps

Google Maps a depuis longtemps une fonction itinéraire, mais avec cette dernière le choix du transport ; en voiture, en transport en commun et à pied (bientôt en bicyclette) avait un petite lacune qui en est une grosse quand on vit dans ma région et que l'on sélectionnait à pied. La troisième dimension, soit l'altitude. Comme vous le voyez dans la première image, se rendre faire des courses en vélo est facilement réalisable en deux dimension.

Par contre, avec l'altitude qui sera bientôt ajouté, j'y penserais maintenant deux fois avant d'acheter une caisse de 24 bières lors de mes courses ;-)

3 mars 2010

Entreprises et médias sociaux : Étude de cas

Voici une entreprise qui a très bien apprivoisé certains des médias sociaux, mais qui a faillit sur un autre. Pas facile de les apprivoiser tous.

Twitter

C'est une des meilleures utilisation de ce réseau social qui a été porté à mon attention jusqu'à maintenant. Outre le nombre impressionnant d'abonnés (+ de 1,750,000 followers) aujourd'hui et un nombre respectable d'abonnements (+ de 575,000 following) les trois choses qui m'ont le plus marquer sur cette page sont :

  1. L'utilisation d'URL de simplifié de Bit.ly comme indicateur de liens en colonne de droite, car c'est un fond d'image et par ce fait non-cliquable, mais "monitorable" grâce à Bit.ly.
  2. Et surtout le lien dans le profil à droite qui pointe sur une page spécifique dédié à Twitter (http://www.wholefoodsmarket.com/twitter) et qui démontre et confirme que ce compte Twitter est effectivement bien issue de cette compagnie.

La surprise ensuite vient du nombre de comptes Twitter opéré par cette compagnie, plus deux cents principalement par Cotweet qui a été acquis aujourd'hui par ExacTarget. à

Divisés en plusieurs catégories (Global, Topical, Metro area et Stores) on a vraiment l'impressionnant que cette compagnie prend au sérieux le service à la clientèle et gère très bien ses communications.

Facebook

Avec plus de 200,000 fans, Whole Foods Market est très actif aussi sur FaceBook. Des dizaines de commentaires sur chacunes de ses interventions, des centaines de "Likes This", Whole Foods gère assez bien cet autre réseau.


YouTube écorche Whole Foods mais son blogue fait preuve de grande transparence.

Ici c'est un peu le réseau social qui est le plus négligé. ABC a fait un reportage sur l'achat de produits bios de WF faits en Chine, mais avec des emballages qui laissaient supposé que c'étaient des produits américains. Je ne comprends pas que WF n'ai pas tenté de produire et mettre ddes vidéos elle aussi sur YouTube pour désarmorcer l'effet négatif de ce reportage. Par contre sur son blogue elle a joué de transparence et expliqué longuement son comportement dans cette histoire.

18 févr. 2010

Douze règles et trucs pour mieux convertir avec vos formulaires Web

Voici 12 règles à suivre pour convertir dans vos formulaires en ligne :
  1. Utilisez des étiquettes claires à coté de vos champs pour aider l’internaute et avec des verbes d’actions. (« Entrez votre courriel : » à la place de « Courriel : »
  2. Demander l’adresse courriel le plus possible au début du formulaire. (Prénom, Nom, Courriel,…)
  3. Essayez d'éviter d'utiliser des champs optionnels. Ils ne font que la rendre le formulaire plus long et doivent être pas si important si elles sont facultatives.
  4. Grouper les champs de contenu connexes avec des encadrés pour avoir des formulaires plus organisés.
  5. Supprimer les actions secondaires inutiles (cancel, effacer, reset) et se concentrer sur les primaires (Soumettre, Continuer, Envoyer)
  6. Pour les formulaires plus longs, les diviser en plusieurs étapes avec un indicateur de progression.
  7. Pour les formulaires courts, pensez à utiliser une fenêtre modale (iFrame) pour permettre aux utilisateurs d'ouvrir une session ou créer un compte sans quitter leur page dans le site.
  8. Fournir des données d'entrée flexible. C’est frustrant lorsque vous devez entrer votre numéro de téléphone dans un format particulier? Autoriser les utilisateurs à entrer comme ils préfèrent.
  9. Communiquer clairement quand une erreur s'est produite dans la partie supérieure de la forme dans un langage visuel qui peut être répété à côté du champ en question.
  10. Quand un utilisateur soumet un formulaire, fournir un indice visuel qui le "mouvement est lancé» et envisager de désactiver le bouton «Soumettre».
  11. Une fois que l'envoi du formulaire est un succès, bien l’indiquer à l'utilisateur. De cette façon, ils peuvent cesser alors de transpirer et savent qu'ils ont survécu à leur confrontation avec le mal ;-)
  12. Noublier pas de mettre un appel à poursuivre ou une incitation à l’action, dépendemment du type de but visé par votre formulaire.
  13. Un petit dernier en bonus : À chaque champs que vous enlevé vous convertirez encore plus.

16 févr. 2010

Utilisation des médias sociaux en forte progression chez les sociétés à croissance rapide

Intéressante étude du Center for Marketing Research at the University of Massachusetts Dartmouth pour la magazine magazine Inc.

Il faut toutefois préciser que l'échantillon final n'est que de 148 entreprises parmis les 500 sociétés à croissance rapide qu'a choisis le magazine Inc.

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Le seul perdant dans les médias sociaux pour 2009 est la vidéo en ligne (Désolé Laurent Maisonnave).

Vous aurez l'étude complète ici. Je vous conseille l'étude en Word car dans les graphiques intégrés vous aurez accès aux fichiers Excel natifs avec toutes les questions spécifiques et même le nom des entreprises qui ont répondus.

ClosR Widget



Je viens de découvrir ce widget via Descary. Très intéressant surtout avec le plein écran (+) en haut à droite.

12 févr. 2010

Près de 200,000 profiles de Google Buzz indexés après 3 jours seulement

Le moteur de recherche de Google commence a indexer nos profiles dans son index. Voici le résultat actuel qui donne à cette heure 16h (EDT) environ 170,000 résultats.

J'ai fait des tests rapides et je n'ai pas encore trouvé en bonne position des buzz de Google mais par contre, quelques résultats sur la section About dont celle-ci qui me semble une très bonne première utilisation marketing de Google Buzz quoi que j'aurais mis un texte spécifique à Buzz ici car ce même texte a été utilisé dans plusieurs autres sites et le profile de cette cie ne sort qu'en 8e position actuellement.

Eric Baillargeon SEO et rayonnement Web

Je vous conseille donc, comme je viens de le faire, de modifier votre nom de famille pour y ajouter des mots-clé pertinent si vous voulez en faire un outil de plus pour votre branding.

Google Buzz fera facilement sa niche comme réseau/média social

On lit plein de choses sur Google Buzz, que c'est un "Facebook killer", que ça ne cause que plus de bruits, que c'est un sous Wave, que cela va tuer Twitter etc.

À mon avis c'est FriendFeeds qui en souffrira le plus et Buzz trouvera probablement sa niche dans les discussions d'affaires, de canal d'apprentissage et un incroyable canal de nouvelles. Il ne sera pas un réseau-social que l'on pourra utiliser comme canal marketing, - sauf dans le cas du mobile -, même si avec un certain doigté il pourrait servir de canal de relations publiques, de services à la clientèle et de R&D.

9 févr. 2010

La croissance de Twitter continue

Twitter's Growth Slows Dramatically... Is Twitter Fading? Twitter popularity declines, growth slows down

Un petit doute c'est installé dans ma tête dans cette semaine du 18 janvier lors de la vue de ces titres dans mon aggrégateur.

J'ai été surpris des chiffres de HubSpot du 19 janvier, repris par le E-Commerce Journal, Read Write Web, le blogue de Forester et de nombreux autres, et comme j'ai justement un client qui voudrait utiliser leur plateforme pour de la veille et du réseautage social j'ai décidé de faire ma propre petite enquête.

La méthodologie de vérification n'est pourtant pas si compliquée !

La méthodologie n'est pas compliqué. Il suffit de prendre un moteur de recherche Twitter performant comme IceRocket et de chercher "Bienvenue sur Twitter" et de vérifier ensuite le fil RSS de la page Twitter du petit nouveau tout en s'assurant qu'il a bien publié le jour même de son inscription. Dans ce fil RSS vous aurez un chiffre comme celui-ci qui a été créé le 28 janvier et qui s'adonne à être celui de Dany Turcotte : http://twitter.com/statuses/user_timeline/109282155.rss
Ensuite pour combler les données après 9 jours, durée habituelles de vie de vos tweets sur la toile, vous faites un appel à vos followers comme je l'ai fait ce matin. Et voici ce que cela donne :
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Un petit saut de 103,058,039 au 8 janvier à 112,805,791 au 9 février soit 9,747,752 d'utilisateurs de plus ce qui donne une augmentation de 9,19%. On est loin du 3.5% annoncé par HubSpot.
J'ai vérifié aussi du 10 décembre au 10 janvier et la croissance fut de 7.57 % ce qui est normal un peu car Twitter est de plus en plus employé en entreprise et avec les fêtes...

Donc, si la tendance se maintient et que Google Buzz suit son prédecesseur Wave, Twitter devrait avoir entre 200 et 250 millions d'utilisateurs à la fion de l'année.

Morale : Ne prenez jamais pour acquis les chiffres sur Internet surtout par des outils/services statistiques qui ne dévoile pas leurs méthodologie.

Mise à jour 10 février: Royal Pingdom nous apprend aujourd'hui que le nombre de Tweets au mois de janvier 2010 aurait été de 1.2 milliard et que c'est 16 fois plus qu'en janvier 2009 !!!

7 févr. 2010

Enveloppe Google Maps - Bientôt ma nouvelle papeterie

Cliquez la photo pour agrandir / Click on picture to zoom in

Ce n'est pas encore au point, - question de rognage et d'impression plein format -, mais l'idée est là et je trouve que c'est une amélioration de celle-ci.

31 janv. 2010

Chaque fureteur possède sa propre empreinte

Je me doutais que c'était possible avec tous nos add-ons et leurs différentes versions qui sont installés sur nos fureteurs et après avoir tester Panopticlick aujourd'hui, avec plus de 430,000 autres testeurs en date d'aujourd'hui l'empreinte de mon fureteur était unique.

Par contre si je refais le test dans une semaine, elle sera probablement encore unique, car sur mes dizaines des add-ons je fais 2-3 mise à jour par semaine. Donc, ma "repérabilité" est donc qu'à très court terme !

24 janv. 2010

Campagne publicitaire télé vers le Web : Un coût de conversion effarant

Un de mes clients dans le domaine touristique a fait une campagne publicitaire TV2Web (le "lead" étant des noms de domaine) cet hiver. Cette fois, (mal)heureusement ils ont écoutés mes conseils et pris des nouveaux noms de domaine qui redirigeaient vers une toute nouvelle section du site dédiée à cette campagne.

Cette section a été toutefois malheureusement lié sur le site du client et aurait dû être normalement totalement orpheline, ce qui aurait été plus précisément monitorable dans les statistiques Web.

Voici les détails et deux scénarios de coût pour le retour sur investissement. Un scénario optimiste et un scénario réaliste.

Les chiffres

Coût moyen de diffusion et de tournage d'une publicité télé de 30 secondes dans les médias nationaux en période de grande écoute : Entre $ 850 et $1,000 par diffusion.
Durée : Environ un mois
Diffusion : Principaux réseaux francophones

Les scénarios du coût de revient

J'ai fait deux scénarios de coût de revient pour deux raisons. L'interprétation des chiffres des statistiques d'Analytics peuvent être fait de diverses manière (landing page, top content, tracking events), et ce même avec des suivis d'événements. L'autre raison est une diffusion en média traditionnel sans ghettorisation du contenu ciblé et sans tatouage spécifique des accroches (leads) des différents diffuseurs pour une meilleure veille.

Les scénarios

Total scénario optimiste = 8,705 (Pages vues de toute la section visée pour la période de diffusion + 1 semaine supplémentaire)
Total scénario réaliste = 1,580 visiteurs (suivi d'événements + 10% de visiteurs égarés "timeout")

Coût de la production + diffusion/8,705 = $18.95 du visiteur (scénario optimiste)
Coût de la production + diffusion/1,580 = $104.43 du visiteur (scénario réaliste)

Ici on ne voit encore que des visiteurs, on est loin du client !!!

Conversion

La conversion normale d'un site se situe entre une fraction de 0.5% et 5% dans le meilleur des mondes en 2010. Un site de commerce électronique a habituellement de 1% à 3% et dans la majorité des cas c'est plutot autour de 1%. Mais dans ce cas-ci le client ne doit pas simplement remplir un panier d'achat et peser sur Enter, il doit se déplacer sur une bonne distance pour effectuer son activité et dans une bonne proportion réserver aussi son hébergement. J'ai donc fait ici aussi deux scénarios de conversion. Un scénario à 3% qui est très optimiste et un scénario à 1% qui est encore à mon avis assez généreux mais plus réaliste.

Conversions du scénario optimiste

8,705 * 3% = 261 clients
8,705 * 1% = 87 clients

3% de conversion = $ 632.18 du client
1% de conversion = $ 1,896.55 du client

Conversions du scénario réaliste

1,580 * 3% = 47 clients
1,580 * 1% = 16 clients

Coût de revient du client en scénario réaliste

Coût de la production + diffusion/47 clients = $ 3,510.63
Coût de la production + diffusion/16 clients = $ 10,312.50

Je ne comprends pas qu'une telle somme soit dépensé en télévision alors que dans le domaine du tourisme, c'est majoritairement le Web qui est utilisé comme vecteur touristique. De plus, je ne comprend pas que ce client n'ai pas veiller en temps réel sa campagne pour valider l'efficacité de celle-ci. J'ai fait l'exercice suivant pendant une diffusion. Pendant la première d'une émission de très grande écoute «Prime Time» j'ai suivit la réponse de la diffusion de la publicité grâce à Woopra. Résultats 6 visiteurs dans les 10 minutes suivant la publicité. J'ai ensuite fait, pour m'amuser, un petit gazouilli sur Twitter et j'ai eu 15 visiteurs grâce aux 2,000 "suiveurs" de mon compte !!!

Oui je sais, une publicité télé donne aussi de la notoriété, mais la même chose est vrai sur le Web avec le phénomène de la "longue traîne". De plus, avec le temps passé sur le Web qui dépasse maintenant le temps devant le petit écran, des efforts de suivit serrés de vos campagnes traditionnelles devrait être un de facto et vous pousseront à réinventer et diversifier vos stratégies marketing plutôt que de faire de l'égo-publicité.

Notes
  • Près de 20% des visiteurs n'ont pas tapé le nom de domaine affiché dans la publicité mais plutot fait une recherche sur les mots-clés du nom de domaine.
  • Le gros du trafic généré l'a été dans la première semaine de diffusion des publicités.

19 janv. 2010

Ecrire pour le Web en 2010

Une des très bonnes présentations sur l'écriture Web que j'ai vu à ce jour. La seule petite chose qui manque est la vérification des tendances des mots-clés grâce à des outils comme Google Insights !!

8 janv. 2010

Facebook reprend sa croissance au Canada

La fin de l'année 2009 a été bonne pour Facebook au Canada. Après des pertes de membres canadiens fin 2008 et début 2009, Facebook a maintenant 14,113,940 canadiens inscrits, un record à ce jour.

7 janv. 2010

5 janv. 2010

Vers la 2eme decennie du rayonnement Web

Les réseaux sociaux et le marketing des MOMs (mini ordinateur mobile ;-) ne seront plus l'apanage des départements de marketing, ressources humaines et des communications dans la prochaine décennie et commenceront à transformer le reste de vos organisations.

Dans les départments B2B, dans la recherche et développement, dans la facturation et les finances, des RH et du recrutement, du service à la clientèle, le marketing médias sociaux/mobile (qui devra être géré adéquatement dans le 2e cas) fera une grande percée dans ces départements dans cette deuxième décennie du troisième millénaire.

L'arrimage social des sites corporatifs sera aussi une tendance forte de cette fin de deuxième décennie. Après s'être épivardé dans de multiples médias sociaux où la veille et la gestion des UGC, le rappatriment des contenus et conversations via des APIs seront une obligation vers la fin des années 2010.

Une autre tendance à venir sera la segmentation marketing pour chacun des canaux de communication. Ceci est obligatoire sil l'on veut véritablement mesurer le RSI (ROI) d'une campagne sur un réseau social spécifique. Donc chaque campagne devra être unique à chaque média social ciblé et ceci est parfaitement logique car nos "amis"/"suiveux"/"abonnement" sont habituellement de niche assez différente selon chaque média social.

27 oct. 2009

Pourquoi j'aime bien la A(H1N1)

Je le sais que ce n'est pas gentil et comme vous je ne suis plus capable d'en entendre parler mais cette cette grippe possiblement pandémique fait bien mon affaire.

Pourquoi je ne déteste pas trop la A(H1N1) et sa surmédiatisation ?

  • Le premier point est que je travaille à distance et que je rencontre rarement mes clients en réel sauf pour des formations. Donc, mon boulot est à risque très limité.
  • Le deuxième point encore plus important est que je travaille beaucoup dans le milieu touristique et une bonne proportion des personnes du secteur marketing passe en moyenne 25% de leur temps (et de 30 à 50% de leur budget) à rencontrer des potentiels clients et "tours operators" ou monter des shows et congrès de l'industrie du tourisme même si 80% des touristes, eux, vont principalement sur le Web pour magasiner leurs vacances.
Ainsi le spectre de la méchante A(H1N1) me donnera un autre solide argument pour une redistribution des efforts marketing sur la Toile pour le milieu touristique.

20 oct. 2009

Le Canada est dans le peleton de queue pour la qualite et les prix d'acces Internet

Voici quelques données tiré de l'étude très complète de 232 pages de The Berkman Center for Internet & Society pour le FCC (Federal Communications Commission) américain.



Voici quelques perles :
Here, our multidimensional benchmarking approach offers substantial new insights. Canada, for example, is often thought of as a very high performer, based on
the most commonly used benchmark of penetration per 100 inhabitants. Because our analysis includes important measures on which Canada has had weaker outcomes—prices, speeds, and 3G mobile broadband penetration—in our analysis it shows up as quite a weak performer, overall.
The highest prices for the lowest speeds are overwhelmingly offered by firms in the United States and Canada, all of which inhabit markets structured around “inter-modal” competition—that is, competition between one incumbent owning a telephone system, and one incumbent owning a cable system. The lowest prices and highest speeds are almost all offered by firms in markets where, in addition to an incumbent telephone company and a cable company, there are also competitors who entered the market, and built their presence, through use of open access facilities.
For example, Italy is only 22nd out of 30 in fixed broadband penetration per 100 but, as we shall see, is fifth in mobile broadband penetration. Canada is a second quintile performer in penetration (down from having penetration levels second only to South Korea's in 2003), but only a fourth quintile performer on speeds and prices. Keeping an eye out for these kinds of discrepancies allows us to identify false “successes” and false “failures,” or be more precise about what aspects of a country's performance are worth learning for adoption,
and which are worth learning for avoidance.

Among the higher performers in general broadband penetration, some indeed do have relatively low broadband penetration for small businesses: Canada (93.7%), the UK (92.1%), and Sweden (94.1%). The rest of the countries that have high penetration per 100 inhabitants also have penetration rates above 95% even in these smaller businesses.


19 oct. 2009

Publicité et agences : Deux ans plus tard, ont-ils compris ?

Voici une étude qui a été publié en septembre 2007 par IBM et intitulé "The end of advertising as we know it" et que j'avais cite ici en novembre 2007.

Note: J'ai ajouté quelques points en gras et insertions en vert)

IBM prédit la fin de la publicité telle que nous la connaissons - Septembre 2007

Le groupe Services d’affaires mondiaux IBM vient de publier son dernier rapport, The End of Advertising as We Know It (La fin de la publicité telle que nous la connaissons), dans lequel il prévoit que l’industrie de la publicité connaîtra dans les cinq années à venir une perturbation d’une ampleur inégalée au cours des 50 dernières années. IBM a réalisé un sondage auprès de plus de 2 400 consommateurs et 80 directeurs de la publicité à l’échelle mondiale. Les résultats révèlent que l’habilitation grandissante des consommateurs, l’autosuffisance accrue des annonceurs et les technologies en constante évolution sont en train de redéfinir la vente, la création, l’utilisation et le suivi de la publicité.

Ainsi, les joueurs du monde de la publicité traditionnelle risquent de voir leurs recettes chuter alors que les budgets seront rapidement réaffectés à de nouveaux formats interactifs, dont la croissance prévue sera de cinq fois celle de la publicité traditionnelle. Pour survivre au sein de cette nouvelle réalité, les diffuseurs doivent changer leur attitude ancrée vis-à-vis du grand public et répondre aux besoins des segments de consommation par créneau et les agents de distribution doivent offrir de la publicité interactive ciblée pour une vaste gamme de dispositifs multimédias. Les agences de publicité doivent expérimenter sur le plan de la création, se transformer en courtiers de données sur la consommation et orienter l’affectation des dollars de publicité au sein d’une explosion de choix. Tous les concernés doivent s’adapter à un univers dans lequel l’achat et la vente de publicités se font de plus en plus dans des marchés ouverts plutôt que par les voies traditionnelles.

« L’adoption du divertissement numérique se fait beaucoup plus rapidement qu’on l’avait prévu. Le milieu de la publicité doit donc complètement réorienter ses activités afin de répondre aux besoins de consommateurs qui, de plus en plus, accèdent à du contenu dans des formats non linéaires, précise Bill Battino, associé délégué du secteur des communications, Services d’affaires mondiaux IBM. Les entreprises doivent revoir leur façon de présenter le contenu aux consommateurs grâce à des modèles de gestion qui sont davantage axés sur l’engagement des consommateurs dans une relation. »

Le rapport dégage quatre moteurs du changement qui font pencher la balance des pouvoirs de l’industrie de la publicité : le contrôle de l’attention, la créativité, la mesure et les stocks de publicités. Comme l’indique le sondage mondial d’IBM sur les médias et le divertissement mené auprès des consommateurs et publié en août, l’attention des consommateurs s’est déplacée et le temps de navigation dans Internet à des fins personnelles rivalise désormais le temps d’écoute de la télévision.

Les consommateurs en ont assez de la publicité interruptive et prennent de plus en plus les commandes du filtrage, de la distribution et de l’utilisation de contenu et des messages publicitaires qui leurs sont associés ainsi que de l’interaction avec ceux-ci. Les résultats du sondage d’IBM révèlent que la moitié des propriétaires de magnétoscope numérique visionnent 50 % ou plus de la programmation en différé et que la publicité télévisée traditionnelle est impossible à transposer en ligne : 40 % des répondants considèrent la diffusion de publicités au cours d’un segment vidéo en ligne plus irritante que toute autre forme de publicité. De plus en plus d’amateurs et de semi-professionnels créent du contenu publicitaire à peu de frais et menacent du fait les agences de création (Ex : lipdub). Quant aux maisons d’édition et aux diffuseurs, ils étendent leurs rôles de création. Les annonceurs réclament une responsabilité et des mesures plus précises relatives au consommateur, et ce, pour toutes les plateformes publicitaires. Les marchés publicitaires libre-service s’accaparent des recettes qui étaient autrefois l’apanage de canaux ou de transactions exclusives.

Les attentes des experts en publicité sont conformes aux tendances mondiales en matière de consommation.

La recherche d’IBM révèle que la nature changeante des consommateurs n’a pas échappé aux experts en publicité, qui voient également poindre des changements profonds à l’horizon. Plus de la moitié des professionnels de la publicité interrogés par IBM s’attendent à ce que, au cours des cinq prochaines années, les marchés publicitaires ouverts (qui sont actuellement dirigés par des sociétés telles que Google, Yahoo et AOL) s’approprient 30 % des recettes que recueillent actuellement les diffuseurs et les médias traditionnels. Près de la moitié des répondants au sondage prévoit une réduction sensible (supérieure à 10 %) des recettes provenant du message publicitaire de 30 secondes dans les cinq prochaines années et presque 10 % des répondants sont d’avis que cette réduction sera importante (supérieure à 25 %). Les deux tiers des experts en publicité interrogés par IBM prévoient que 20 % des recettes publicitaires passeront des formats de publicités par impressions aux publicités par chocs en l’espace de trois ans.

« La publicité demeure une partie intégrante de la culture populaire et continue de financer une partie importante du divertissement partout dans le monde, explique Saul Berman, chef du groupe-conseil Stratégies et changements, Médias et divertissement IBM. Elle doit néanmoins s’adapter aux nouveaux formats et offrir une valeur plus intrinsèque aux consommateurs, qui disposeront de plus de choix. Compte tenu de la mine de nouveaux débouchés publicitaires, l’analyse des consommateurs jouera un rôle plus prépondérant que jamais quelle que soit la position d’une entreprise dans la chaîne de valeur. Les jeunes en particulier n’ont pas l’habitude de payer pour obtenir du contenu. En dépit du contrôle plus étroit qu’exercent les consommateurs sur le contenu et la publicité, nous imaginons un monde dans lequel ces derniers continueront de préférer le visionnement de publicités au paiement direct pour du contenu. »

Selon le rapport d’IBM, d’ici 2012, le paysage de l’industrie connaîtra une transformation si profonde que les joueurs de l’industrie de la publicité, afin de survivre, devront prendre des mesures énergiques pour innover dans trois domaines clés :
  • Consommateurs - Faire de la microsegmentation et de la personnalisation les éléments suprêmes de la mise en marché.
  • Modèles de gestion - Le mode et le lieu de vente des stocks de publicités, la structure et les formes de partenariats, les modèles de recettes et les formats de publicité. ·
  • Conception et infrastructure commerciales - Tous les concernés doivent repenser les ressources organisationnelles et d’exploitation du cycle de vie publicitaire afin de soutenir l’innovation à l’égard du consommateur et du modèle de gestion : rapports sur l’analyse des consommateurs, la planification des canaux, la achat et la vente, la création, la prestation et l’impact.
IBM croit que tous les joueurs devront investir de façon importante dans l’analyse des consommateurs et l’automatisation afin d’en apprendre davantage sur ces derniers et sur la façon de les joindre. Par exemple, la publicité interactive jumelée à des données d’analyse sur la consommation fournit des renseignements probants sur qui a visionné une publicité et y a donné suite plutôt que des estimations d’impressions, et permet donc aux annonceurs de maximiser leurs recettes et la gestion de la recette unitaire. Les joueurs de l’industrie devront par ailleurs vérifier s’ils disposent des ressources et des moyens nécessaires pour prendre en charge un plus grand nombre de promotions de mise en marché et de ventes de publicité intégrée. Enfin, IBM a noté que la montée en flèche du nombre et de la diversité de promotions entraîne un investissement accru dans des outils qui servent à transformer numériquement les flux des travaux des entreprises, dont les processus de gestion de contenu, de création, de production et d’approbation, ainsi qu’à en réduire le coût.

Autres faits saillants de l’enquête :

Attitudes des consommateurs vis-à-vis de la publicité

  • Les magnétoscopes numériques permettent d’ignorer les publicités à grande échelle : La moitié des propriétaires de magnétoscope numérique visionnent 50 % ou plus de la programmation en différé (le taux d’utilisation du magnétoscope numérique au sein des répondants était d’environ 25 %).
  • Les formats de publicité télévisée traditionnelle sont impossibles à transposer en ligne : 40 % des répondants considèrent la diffusion de publicités au cours d’un segment vidéo en ligne plus irritante que toute autre forme de publicité.

Les comportements des consommateurs sont dictés par la génération à laquelle ils appartiennent.

Le sondage réalisé par IBM auprès de consommateurs à l’échelle mondiale révèle des différences importantes dans les comportements des ados « cool », des adeptes de gadgets et des « passifs massifs » :
  • Ados « cool » : Sont nombreux à utiliser les sources de contenu nouveau, gratuit et interactif (75 % dans des sites de réseautage personnel, <15>
  • Adeptes de gadgets : Sont deux fois plus portés à passer du temps en ligne qu’à regarder la télévision et cinq fois plus susceptibles de faire une contribution à des sites de contenu vidéo que les « passifs massifs » ; disposent d’un revenu élevé.
  • « Passifs massifs » : Sont davantage disposés à payer pour du contenu (répartition de 50-50), s’intéressent davantage aux expériences de détente - par conséquent, affichent le taux d’adoption le plus élevé pour la télé payante, les abonnements à des quotidiens en ligne.

Les consommateurs s’adonnent à la création

Les consommateurs participent de plus en plus à la création et à la diffusion de messages :
  • Les consommateurs fréquentent en grands nombres les sites qui subissent l’influence d’utilisateurs : Les sites de réseautage personnel (45 %) et les sites qui présentent du contenu produit par les utilisateurs (33 %) sont ceux dont l’adoption est la plus répandue au sein des répondants - plus élevée que la télé payante (24 %), les quotidiens en ligne (18 %) ou même les services musicaux comme iTunes (24 %).
  • Les utilisateurs fournissent de plus en plus de contenu : 26 % contribuent du contenu à des sites de réseautage personnel et près de 10 % à des sites de contenu vidéo comme YouTube.
  • Les utilisateurs sont des influenceurs de confiance : 32 % ont dit visiter des sites selon les recommandations d’amis, 60 % de ceux qui ont contribué du matériel l’ont fait pour la célébrité (reconnaissance) plutôt que pour l’argent (valeur pécuniaire).

Les annonceurs suivent les tendances des consommateurs

  • Entend réduire ses dépenses en publicité télévisée : 44 % des annonceurs ont dit prévoir une réduction sensible ou importante (c.-à-d., 10 % ou 25 % respectivement) de leurs dépenses en publicité télévisée au cours des cinq prochaines années en raison du changement du comportement du consommateur.
  • Veut des modèles de responsabilité : Deux tiers des professionnels de la publicité interrogés s’attendent à ce que 20 % ou plus des publicités par impressions passent aux publicités par chocs en l’espace de trois ans. Prévoit une perturbation : La majorité (>50 %) des répondants s’attend à ce que de nouveaux aggrégateurs en ligne (diffusion automatisée et à peu de frais des publicités) s’accaparent 30 % de la part des recettes des titulaires de médias en cinq ans.


Ont-ils compris ?

14 oct. 2009

Ma dernière presentation pour le domaine touristique

Présentation produite rapidement en dernière minute dû au délai serré pour l'Association des ATR du Québec. Comme le niveau technique de la clientèle m'était inconnu, je suis parti du Did You Know de 2006 en mettant à jour plusieurs diapos. C'est un peu "manger mou" au début mais ça se corse ensuite.


Liens de la présentation :
Étude bannières du MediaPost
Étude bannières du AdAge
Étude réseaux sociaux de Ruderfinn

2 oct. 2009

E-readiness 2009

Voici le rapport E-Readiness 2009 fait conjointement par The Economist (Intelligence Unit) et IBM Institute for Business Value



Si le Canada est maintenant au 9e rang, ce n'est pas tant que l'on ce soit amélioré (-o.16), mais plutôt que les autres ont déclinés. Comptez bien voir les Américains reprendre le haut du classement l'an prochain avec la crise économique en moins et un Obama au pouvoir.

Voic maintenant un tableau qui m'a fait sourire :

Regional e-readiness leaders: government policy and vision
Sans commentaire Stephen