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12 mai 2019

Rapport 2019 sur le marketing des médias sociaux


Comment les spécialistes du marketing utilisent les médias sociaux pour développer leurs activités

 

Questionnaire demandé aux spécialistes du marketing s'ils souhaitaient obtenir des réponses à des questions générales de marketing social.

Le graphique ci-dessous indique le pourcentage de répondants qui étaient d'accord ou tout à fait d'accord pour dire qu'ils cherchaient des réponses à ces questions. Au moins 85 % des spécialistes du marketing interrogés étaient intéressés par les réponses à toutes les questions suivantes :
Social Media Examiner


Quels sont les bénéfices du marketing des médias sociaux ?

 

Un pourcentage significatif de 93 % de tous les spécialistes du marketing ont indiqué que leurs sites de médias sociaux ont généré plus de visibilité pour leurs entreprises. L'augmentation de ce trafic a été le deuxième avantage majeur, avec 87 % des résultats positifs. Ces prestations sont demeurées dans les deux premiers rangs au cours des cinq dernières années.

Tous les avantages se sont améliorés depuis 2018:
Social Media Examiner


  • L'exposition a augmenté de 87% à 93%,
  • Le trafic a augmenté de 78% à 87%,
  • Le nombre de prospects est passé de 64% à 74%,
  • Les ventes ont augmenté de 53% à 72%
  • Les fans fidèles développés de 63% à 71%.
  • Le taux de pénétration du marché est passé de 54 % à 58 %
  • Le leadership intellectuel est passé de 46 % à 57 %
  • Les partenariats commerciaux sont passés de 49 % à 56 %

La question qui ressort naturellement du tableau ci-dessus est : "Les spécialistes du marketing qui utilisent les médias sociaux depuis des années ont-ils obtenu de meilleurs résultats ? Les graphiques suivants répondent à cette question.

 


Quelles sont les plateformes de médias sociaux les plus utilisées ?


Facebook et Instagram sont les deux principales plateformes utilisées par les spécialistes du marketing, et de loin. Toutes les autres plates-formes accusent un retard par rapport à ces deux premières.
Social Media Examiner


CHANGEMENTS NOTABLES DEPUIS 2018

  • Instagram est passé de de 66 % à 73%.
  • Twitter a chuté de 62% à 59%.
  • LinkedIn est passé de 56 % à 58 %.
  • YouTube est passé de 50 % à 54 %.
  • Pinterest à légèrement augmenté de 27% à 28%.
  • Snapchat a baissé de 8% à 6%.



Quelle est la plateforme sociale la plus importante pour les spécialistes du marketing ?


Social Media Examiner
Nous avons demandé aux spécialistes du marketing de choisir la plateforme sociale la plus importante pour leur entreprise. Parce qu'un seul choix était permis, les résultats sont révélateurs.

La plupart des spécialistes du marketing (61 %) ont choisi Facebook comme plateforme la plus importante. Ce graphique révèle clairement que Facebook est toujours la principale plateforme pour les spécialistes du marketing.

CHANGEMENTS NOTABLES DEPUIS 2018

  • Facebook a chuté à 61% comparativement à 67% en 2018.
  • Instagram a sauté de l'emplacement no 3 à l'emplacement no 2, en hausse de 4%.
  • LinkedIn a perdu le créneau #2, mais est passé de 12% à 14%.
  • YouTube est passé de 4% à 5 %. 

 

 La montée et la chute des plateformes sociales sur 5 ans

Social Media Examiner
 
Nous montrons ici les quatre principales plateformes sociales que les spécialistes du marketing jugent les plus importantes sur une période de 5 ans.

Pour la première fois en 5 ans, Facebook a perdu des parts de marché en tant que plateforme la plus importante pour les spécialistes du marketing, passant de 67% en 2018 à 61% en 2019.

La montée en puissance d'Instagram se voit clairement (en bleu), à côté du déclin de Twitter (en jaune).

Vous pouvez trouver la page originale du rapport ici :
https://www.socialmediaexaminer.com/report2019/



Au Québec 2016 et 2018

Au Québec 2015, 2016 et 2018



Au Québec 2016 à 2018


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30 nov. 2010

Trouver des influenceurs dans votre secteur d'activité est assez simple

Voici les 25 influenceurs francophones dans le monde du marketing Web selon Google.

www.MichelleBlanc.com/
www.Adviso.ca/
www.nayezpaspeur.ca/
www.emergenceweb.com/
www.fredcavazza.net/
www.vincentabry.com/
www.paperblog.fr/
http://zeroseconde.blogspot.com/
www.descary.com/
www.twistimage.com/blog/
www.dominicarpin.ca/
http://yulbiz.org/
www.bloguemarketinginteractif.com/
http://carnets.opossum.ca/
http://emm-ess.blogspot.com/
www.guillaumebrunet.com/
http://blog.provokat.ca/
http://mcturgeon.com/blog/
http://sethgodin.typepad.com/
http://patriciatessier.blogspot.com/
www.michaelcarpentier.com/
http://loiclemeur.com/france/
http://intercommunication.blogspot.com/
http://webcom-montreal.com/

Comment trouver cette liste ? Simplement identifier un/une influenceure qui a un site ou un blogue et faire la commande Related:nomdusite ~nomdusite avec un mot-clé dans Google comme ceci.

18 févr. 2010

Douze règles et trucs pour mieux convertir avec vos formulaires Web

Voici 12 règles à suivre pour convertir dans vos formulaires en ligne :
  1. Utilisez des étiquettes claires à coté de vos champs pour aider l’internaute et avec des verbes d’actions. (« Entrez votre courriel : » à la place de « Courriel : »
  2. Demander l’adresse courriel le plus possible au début du formulaire. (Prénom, Nom, Courriel,…)
  3. Essayez d'éviter d'utiliser des champs optionnels. Ils ne font que la rendre le formulaire plus long et doivent être pas si important si elles sont facultatives.
  4. Grouper les champs de contenu connexes avec des encadrés pour avoir des formulaires plus organisés.
  5. Supprimer les actions secondaires inutiles (cancel, effacer, reset) et se concentrer sur les primaires (Soumettre, Continuer, Envoyer)
  6. Pour les formulaires plus longs, les diviser en plusieurs étapes avec un indicateur de progression.
  7. Pour les formulaires courts, pensez à utiliser une fenêtre modale (iFrame) pour permettre aux utilisateurs d'ouvrir une session ou créer un compte sans quitter leur page dans le site.
  8. Fournir des données d'entrée flexible. C’est frustrant lorsque vous devez entrer votre numéro de téléphone dans un format particulier? Autoriser les utilisateurs à entrer comme ils préfèrent.
  9. Communiquer clairement quand une erreur s'est produite dans la partie supérieure de la forme dans un langage visuel qui peut être répété à côté du champ en question.
  10. Quand un utilisateur soumet un formulaire, fournir un indice visuel qui le "mouvement est lancé» et envisager de désactiver le bouton «Soumettre».
  11. Une fois que l'envoi du formulaire est un succès, bien l’indiquer à l'utilisateur. De cette façon, ils peuvent cesser alors de transpirer et savent qu'ils ont survécu à leur confrontation avec le mal ;-)
  12. Noublier pas de mettre un appel à poursuivre ou une incitation à l’action, dépendemment du type de but visé par votre formulaire.
  13. Un petit dernier en bonus : À chaque champs que vous enlevé vous convertirez encore plus.

19 janv. 2010

Ecrire pour le Web en 2010

Une des très bonnes présentations sur l'écriture Web que j'ai vu à ce jour. La seule petite chose qui manque est la vérification des tendances des mots-clés grâce à des outils comme Google Insights !!

19 oct. 2009

Publicité et agences : Deux ans plus tard, ont-ils compris ?

Voici une étude qui a été publié en septembre 2007 par IBM et intitulé "The end of advertising as we know it" et que j'avais cite ici en novembre 2007.

Note: J'ai ajouté quelques points en gras et insertions en vert)

IBM prédit la fin de la publicité telle que nous la connaissons - Septembre 2007

Le groupe Services d’affaires mondiaux IBM vient de publier son dernier rapport, The End of Advertising as We Know It (La fin de la publicité telle que nous la connaissons), dans lequel il prévoit que l’industrie de la publicité connaîtra dans les cinq années à venir une perturbation d’une ampleur inégalée au cours des 50 dernières années. IBM a réalisé un sondage auprès de plus de 2 400 consommateurs et 80 directeurs de la publicité à l’échelle mondiale. Les résultats révèlent que l’habilitation grandissante des consommateurs, l’autosuffisance accrue des annonceurs et les technologies en constante évolution sont en train de redéfinir la vente, la création, l’utilisation et le suivi de la publicité.

Ainsi, les joueurs du monde de la publicité traditionnelle risquent de voir leurs recettes chuter alors que les budgets seront rapidement réaffectés à de nouveaux formats interactifs, dont la croissance prévue sera de cinq fois celle de la publicité traditionnelle. Pour survivre au sein de cette nouvelle réalité, les diffuseurs doivent changer leur attitude ancrée vis-à-vis du grand public et répondre aux besoins des segments de consommation par créneau et les agents de distribution doivent offrir de la publicité interactive ciblée pour une vaste gamme de dispositifs multimédias. Les agences de publicité doivent expérimenter sur le plan de la création, se transformer en courtiers de données sur la consommation et orienter l’affectation des dollars de publicité au sein d’une explosion de choix. Tous les concernés doivent s’adapter à un univers dans lequel l’achat et la vente de publicités se font de plus en plus dans des marchés ouverts plutôt que par les voies traditionnelles.

« L’adoption du divertissement numérique se fait beaucoup plus rapidement qu’on l’avait prévu. Le milieu de la publicité doit donc complètement réorienter ses activités afin de répondre aux besoins de consommateurs qui, de plus en plus, accèdent à du contenu dans des formats non linéaires, précise Bill Battino, associé délégué du secteur des communications, Services d’affaires mondiaux IBM. Les entreprises doivent revoir leur façon de présenter le contenu aux consommateurs grâce à des modèles de gestion qui sont davantage axés sur l’engagement des consommateurs dans une relation. »

Le rapport dégage quatre moteurs du changement qui font pencher la balance des pouvoirs de l’industrie de la publicité : le contrôle de l’attention, la créativité, la mesure et les stocks de publicités. Comme l’indique le sondage mondial d’IBM sur les médias et le divertissement mené auprès des consommateurs et publié en août, l’attention des consommateurs s’est déplacée et le temps de navigation dans Internet à des fins personnelles rivalise désormais le temps d’écoute de la télévision.

Les consommateurs en ont assez de la publicité interruptive et prennent de plus en plus les commandes du filtrage, de la distribution et de l’utilisation de contenu et des messages publicitaires qui leurs sont associés ainsi que de l’interaction avec ceux-ci. Les résultats du sondage d’IBM révèlent que la moitié des propriétaires de magnétoscope numérique visionnent 50 % ou plus de la programmation en différé et que la publicité télévisée traditionnelle est impossible à transposer en ligne : 40 % des répondants considèrent la diffusion de publicités au cours d’un segment vidéo en ligne plus irritante que toute autre forme de publicité. De plus en plus d’amateurs et de semi-professionnels créent du contenu publicitaire à peu de frais et menacent du fait les agences de création (Ex : lipdub). Quant aux maisons d’édition et aux diffuseurs, ils étendent leurs rôles de création. Les annonceurs réclament une responsabilité et des mesures plus précises relatives au consommateur, et ce, pour toutes les plateformes publicitaires. Les marchés publicitaires libre-service s’accaparent des recettes qui étaient autrefois l’apanage de canaux ou de transactions exclusives.

Les attentes des experts en publicité sont conformes aux tendances mondiales en matière de consommation.

La recherche d’IBM révèle que la nature changeante des consommateurs n’a pas échappé aux experts en publicité, qui voient également poindre des changements profonds à l’horizon. Plus de la moitié des professionnels de la publicité interrogés par IBM s’attendent à ce que, au cours des cinq prochaines années, les marchés publicitaires ouverts (qui sont actuellement dirigés par des sociétés telles que Google, Yahoo et AOL) s’approprient 30 % des recettes que recueillent actuellement les diffuseurs et les médias traditionnels. Près de la moitié des répondants au sondage prévoit une réduction sensible (supérieure à 10 %) des recettes provenant du message publicitaire de 30 secondes dans les cinq prochaines années et presque 10 % des répondants sont d’avis que cette réduction sera importante (supérieure à 25 %). Les deux tiers des experts en publicité interrogés par IBM prévoient que 20 % des recettes publicitaires passeront des formats de publicités par impressions aux publicités par chocs en l’espace de trois ans.

« La publicité demeure une partie intégrante de la culture populaire et continue de financer une partie importante du divertissement partout dans le monde, explique Saul Berman, chef du groupe-conseil Stratégies et changements, Médias et divertissement IBM. Elle doit néanmoins s’adapter aux nouveaux formats et offrir une valeur plus intrinsèque aux consommateurs, qui disposeront de plus de choix. Compte tenu de la mine de nouveaux débouchés publicitaires, l’analyse des consommateurs jouera un rôle plus prépondérant que jamais quelle que soit la position d’une entreprise dans la chaîne de valeur. Les jeunes en particulier n’ont pas l’habitude de payer pour obtenir du contenu. En dépit du contrôle plus étroit qu’exercent les consommateurs sur le contenu et la publicité, nous imaginons un monde dans lequel ces derniers continueront de préférer le visionnement de publicités au paiement direct pour du contenu. »

Selon le rapport d’IBM, d’ici 2012, le paysage de l’industrie connaîtra une transformation si profonde que les joueurs de l’industrie de la publicité, afin de survivre, devront prendre des mesures énergiques pour innover dans trois domaines clés :
  • Consommateurs - Faire de la microsegmentation et de la personnalisation les éléments suprêmes de la mise en marché.
  • Modèles de gestion - Le mode et le lieu de vente des stocks de publicités, la structure et les formes de partenariats, les modèles de recettes et les formats de publicité. ·
  • Conception et infrastructure commerciales - Tous les concernés doivent repenser les ressources organisationnelles et d’exploitation du cycle de vie publicitaire afin de soutenir l’innovation à l’égard du consommateur et du modèle de gestion : rapports sur l’analyse des consommateurs, la planification des canaux, la achat et la vente, la création, la prestation et l’impact.
IBM croit que tous les joueurs devront investir de façon importante dans l’analyse des consommateurs et l’automatisation afin d’en apprendre davantage sur ces derniers et sur la façon de les joindre. Par exemple, la publicité interactive jumelée à des données d’analyse sur la consommation fournit des renseignements probants sur qui a visionné une publicité et y a donné suite plutôt que des estimations d’impressions, et permet donc aux annonceurs de maximiser leurs recettes et la gestion de la recette unitaire. Les joueurs de l’industrie devront par ailleurs vérifier s’ils disposent des ressources et des moyens nécessaires pour prendre en charge un plus grand nombre de promotions de mise en marché et de ventes de publicité intégrée. Enfin, IBM a noté que la montée en flèche du nombre et de la diversité de promotions entraîne un investissement accru dans des outils qui servent à transformer numériquement les flux des travaux des entreprises, dont les processus de gestion de contenu, de création, de production et d’approbation, ainsi qu’à en réduire le coût.

Autres faits saillants de l’enquête :

Attitudes des consommateurs vis-à-vis de la publicité

  • Les magnétoscopes numériques permettent d’ignorer les publicités à grande échelle : La moitié des propriétaires de magnétoscope numérique visionnent 50 % ou plus de la programmation en différé (le taux d’utilisation du magnétoscope numérique au sein des répondants était d’environ 25 %).
  • Les formats de publicité télévisée traditionnelle sont impossibles à transposer en ligne : 40 % des répondants considèrent la diffusion de publicités au cours d’un segment vidéo en ligne plus irritante que toute autre forme de publicité.

Les comportements des consommateurs sont dictés par la génération à laquelle ils appartiennent.

Le sondage réalisé par IBM auprès de consommateurs à l’échelle mondiale révèle des différences importantes dans les comportements des ados « cool », des adeptes de gadgets et des « passifs massifs » :
  • Ados « cool » : Sont nombreux à utiliser les sources de contenu nouveau, gratuit et interactif (75 % dans des sites de réseautage personnel, <15>
  • Adeptes de gadgets : Sont deux fois plus portés à passer du temps en ligne qu’à regarder la télévision et cinq fois plus susceptibles de faire une contribution à des sites de contenu vidéo que les « passifs massifs » ; disposent d’un revenu élevé.
  • « Passifs massifs » : Sont davantage disposés à payer pour du contenu (répartition de 50-50), s’intéressent davantage aux expériences de détente - par conséquent, affichent le taux d’adoption le plus élevé pour la télé payante, les abonnements à des quotidiens en ligne.

Les consommateurs s’adonnent à la création

Les consommateurs participent de plus en plus à la création et à la diffusion de messages :
  • Les consommateurs fréquentent en grands nombres les sites qui subissent l’influence d’utilisateurs : Les sites de réseautage personnel (45 %) et les sites qui présentent du contenu produit par les utilisateurs (33 %) sont ceux dont l’adoption est la plus répandue au sein des répondants - plus élevée que la télé payante (24 %), les quotidiens en ligne (18 %) ou même les services musicaux comme iTunes (24 %).
  • Les utilisateurs fournissent de plus en plus de contenu : 26 % contribuent du contenu à des sites de réseautage personnel et près de 10 % à des sites de contenu vidéo comme YouTube.
  • Les utilisateurs sont des influenceurs de confiance : 32 % ont dit visiter des sites selon les recommandations d’amis, 60 % de ceux qui ont contribué du matériel l’ont fait pour la célébrité (reconnaissance) plutôt que pour l’argent (valeur pécuniaire).

Les annonceurs suivent les tendances des consommateurs

  • Entend réduire ses dépenses en publicité télévisée : 44 % des annonceurs ont dit prévoir une réduction sensible ou importante (c.-à-d., 10 % ou 25 % respectivement) de leurs dépenses en publicité télévisée au cours des cinq prochaines années en raison du changement du comportement du consommateur.
  • Veut des modèles de responsabilité : Deux tiers des professionnels de la publicité interrogés s’attendent à ce que 20 % ou plus des publicités par impressions passent aux publicités par chocs en l’espace de trois ans. Prévoit une perturbation : La majorité (>50 %) des répondants s’attend à ce que de nouveaux aggrégateurs en ligne (diffusion automatisée et à peu de frais des publicités) s’accaparent 30 % de la part des recettes des titulaires de médias en cinq ans.


Ont-ils compris ?

6 août 2009

Publicite : La prochaine decennie changera la donne

Comme mentionné dans mon billet de janvier 2008 : L'annee du debut de l'ecremage publicitaire ?, des changements importants affectent aussi ce secteur dû à la migration, - petit à petit -, des budgets vers le Web.

Ici l'affaire Cossette fait jaser, mais de l'autre coté de l'atlantique Publicis projetterait de faire l'acquisition du numéro un marketing Web des mains de Microsoft! Pour ceux qui ne connaisse pas Razorfish, c'est une des leaders américains qui est aussi à l'avant-garde de *toutes* les agences du coté du Web.

4 juin 2009

Microsoft aurait-il appris de la crise automobile ?

C'est l'impression que j'ai quand je vois que cette "vieille" institution utiliser maintenant plusieurs technique marketing 2.0 pour lancer son nouveau moteur Bing.

Un des meilleurs coups (trop tordant) c'est que la gang de Redmond utilise son concurrent Google pour lancer ses propres annonces sur YouTube avec un canal spécifique www.youtube.com/bing lancé il y a une heure à peine et qui peine parfois à être visible tant la demande semble être forte.

L'équipe marketing de Microsoft a aussi utilisé Twitter et Facebook pour lancer son nouveau moteur ! Ils ont en plus définit leur deux principaux crénaux qui sont le shopping (/shop) et le tourisme (/travel). Bravo !!!

28 janv. 2009

Chef d'orchestre en Rayonnement Web

Avec l'avénement et la montée en puissance des réseaux sociaux, des bons vieux Facebook et Flickr à la nouvelle étoile Twitter la dynamique de rayonnement (marketing) Web évolue rapidement. J'en ai d'ailleur discuté hier avec quelques personnes au Yulbiz, dont Claude nous parle ici, et tous sont aussi surpris de la diversification des créneaux comparativement à il y a seulement 3 ans.

En fouillant la Toile ce matin, je suis tombé sur ce billet qui parle d'une étude résultant d'un sondage sur "Que sera le rôle du marketing en 2015 ?". Le titre d'une des quatres visions m'a particulièrement plus :
3. The network orchestrator (Diego): Diego's company is made up of virtual teams and workplaces. It involves a network of collaborating companies with efficient value chains and logistics. He is a master networker with an ability to spot trends ahead of the curve. He is flexible and easily changes course. Diego understands that creativity is as important as the bottom line contribution in measuring success for marketers.
C'est tellement de plus en plus vrai et ceci dès maintenant pas en 2015 !

19 janv. 2009

Bloguer dans un contexte d'affaires : L'audience et le ROI est simplement question de votre PASSION

Drôle de circonstance alors que je voulais justement faire un billet là-dessus depuis plusieurs mois, genre presque 2 ans. Fred Cazzava remet quelques pendules à l'heure, car moi aussi j'étais un peu exaspéré par le discours que le blogue est la panacée à tous les mots de la communication d'entreprise reprise par plusieurs depuis 2-3 années sans mentionner le travail et surtout la passion d'un métier que cela exige. Voici un large extrait du billet de Fred :
Ce billet traite avec justesse de l’intérêt pour une PME d’avoir une blog, surtout lorsque celle-ci ne dispose pas d’un budget marketing pharaonique. Les raisons listées sont valables (com’ externe, image, dialogue, référencement, motivation interne, veille, autorité de compétence…) mais ne traite pas de la dure réalité des blogueurs d’affaires : l’audience.

Celles et ceux qui se sont risqués récemment à rédiger un blog BtoB savent à quel point il peut être frustrant d’investir du temps et de l’énergie (de la passion ?) dans un blog qui génère un trafic somme toute très faible. Et c’est là où le bas blesse : parler de son métier limite fortement le lectorat d’un blog.

Autant quand le thème de votre blog est orienté lifestyle, gadgets ou séries TV, vous pouvez très rapidement acquérir une audience qui va vous stimuler dans votre travail d’écriture au quotidien, autant lorsque vous parlez de logistique ou de techniques de vente c’est tout de suite plus délicat et votre audience risque d’avoir une courbe de progression beaucoup plus plate. Non pas que le sujet soit moins intéressant, mais plutôt que la rencontre entre un sujet et son lectorat est beaucoup plus laborieuse.

Dans cette première partie du billet, - et très souvent où le lectorat débarque, ce n'est pas très emballant comme perpective. Celà me rapelle mon "peak" comme blogueur alors que j'avais été interviewé avec quelques autres bloggeurs de l'époque (mars 2006) et où mon audience était relativement "importante", pour ici au Québec il y a presque 3 ans :

Éric Baillargeon est l'un des meilleurs spécialistes canadiens du marketing Internet et du référencement, cet art de faire apparaître un site Internet en haut de liste des moteurs de recherche.

Il possède un blogue professionnel en français ( http://intercommunication.blogspot.com) et un autre en anglais. Il consacre une heure par jour à leur mise à jour. «Entre 85 et 90 % de mes contrats me viennent de clients qui m'ont connu par ces blogues», dit-il.

Entre 500 et 600 personnes par jour visitent ses sites. «Quelqu'un qui a pris la peine de faire une recherche sur le Web pour te trouver est déjà un client potentiel. Si tu publies dans ton champ de compétence, ça fait de toi quelqu'un d'intéressant pour un client ou un employeur», dit-il.

Selon Éric Baillargeon, un carnet peut entraîner de tels résultats s'il offre beaucoup de contenu intéressant et s'il est mis à jour régulièrement. Sinon, il sera ignoré des moteurs de recherche.

Ce «googlologue» rappelle également que la notoriété d'un site n'est pas instantanée. Inutile de penser être repéré par un client ou un employeur quelques jours après la conception d'un blogue.

Éric Baillargeon déconseille de plus cet outil à ceux qui offrent des services de proximité.
C'est justement, pas très longtemps après cet article du début 2006, que j'ai ré-orienté ma clientèle-cible de mon blogue comme elle l'avait été de 2000 à 2006. Un seul blogue en français et surtout beaucoup plus technique et donc rébarbatif à plusieurs de mon audience à l'époque. Résultat : Perte de 40 à 60% de mon lectorat, perte de 80% des demandes de soumissions et 25% des appels d'offres. Ayoye vous direz ! NON.

Une augmentation de 200% de mes clients en 2006 et qui c'est ensuite bonifié en qualité par la suite. Car pour chaque demande de soumission ou appel d'offre de l'époque j'avais 10-15% de nouveaux clients. Après ce changement le taux est passé graduellement de 50% à 90% de nouveaux clients depuis. Et des clients qui connaissent la "poutine", - c-a-d pour nos cousins français -, ceux qui ont fait assez de recherche avant et qui connaissent un minimum du marché du marketing Web. Alleluia !

14 janv. 2009

Marketing et Rayonnement Web : Vivement le travail autonome

C'est fou comme le métier de travailleur autonome et ses impératifs me reconnecte et m'aide toujours dans mon métier. J'ai des clients qui ont des sites de 25 millions de visiteurs uniques par année mais aussi d'autres qui en ont que quelques milliers.

C'est souvent avec ces derniers, les plus petits et ceux qui dépensent de leur propre poche, que l'on peut le mieux souvent servir leurs intérêts et réaliser le plus efficacement les meilleures innovations et bons coups en rayonnement Web. Leurs progressions sont spectaculaires, les barrières aux changements dans leur communication sont souvent pratiquement inexistantes, pas des multiples processus de validation, pas de syndicats qui veulent entériner les descriptions de tâches et sans les barrières de multiples niveaux décisionnels de toutes les couches corporatives.

Ainsi les directives proposées sont appliquées promptement et l'accès aux statistiques et données sont plus facilement accessibles et le retour sur investissement est plus facilement quantifiable.

C'est mêmes stratégies et les résultantes sont alors plus facilement quantifiables rapidement. Dans le secteur du Web c'est primordial !

30 nov. 2008

Bonne semaine


J'adore avoir des clients qui n'y connaissait rien en marketing Web. C'est toujours amusant de leur voir le visage quand les statistiques commencent à entrer et de leur entendre dire : "Après trois ans sur la Toile ont a eu pour la première fois des commentaires sur nos articles" !

3 nov. 2008

Politique 2.0 : Obama a près de 4 fois plus de rayonnement Web

Facebook
Obama: 2,381,734 membres
McCain: 620,635 membres

Obama a près de 4 fois plus de membres que McCain

MySpace
Obama: 834,779 amis
McCain: 217,798 amis

Obama a près de 4 fois plus d'amis que McCain

YouTube
Obama:
Vidéos téléversé depuis Nov 2006 : 1,793
Inscrits: 114,664
Visionnements sur sa chaine: 18,424,727
McCain:
Vidéos téléversé depuis février 2007 : 329
Inscrits: 28,430
Visionnements sur sa chaine: 2,034,927

Obama a près de 4 fois plus d'inscrits que McCain
Obama a près de 9 fois plus de visionnements que McCain

Twitter
Obama: @barackobama a 112,653 personnes qui le suit
McCain: @JohnMcCain 4,619 personnes qui le suit

Obama a près de 30 fois plus de personnes qui le suit que McCain


Idée et mise à jour de Jeremiah

30 oct. 2008

Le rapport Feed de Razorfish sur l'adoption rapide du Web 2.0

Étonnant constat que le rapport Feed (PDF 18 meg ou rapport Flash ici) de Razorfish, - première agence marketing Web au monde -, sur l'adoption si rapide des technologies Web 2.0 (réseaux sociaux, micro-blogue, Widget, RSS, etc) par les utilisateurs que les experts de l'industrie y ont de la peine à suivre.

...today’s consumer is more technically adept, open for experimentation and—most importantly—active than ever before.
Et voici quelques statistiques tiré de cette étude qui vaut vraiment le détour :

  • 28% utilise assez fréquemment Twitter (qui est un relativement nouveau)
  • 41% utilise assez fréquemment des étiquettes (tag cloud)
  • 52% utilise assez fréquemment les fils RSS
  • 52% ont partagés des signets avec des service comme del.icio.us
  • 55% use widgets on the computer
  • desktop with some frequency
  • 62% utilise assez fréquemment des widgets sur des sites comme Facebook ou iGoogle
  • 81% remarquent les liens “Most Popular” ou “Most Emailed” assez fréquemment
  • 94 % consomment des vidéos en ligne
  • 52 % ont téléchargés des vidéos de leur cru et 84% des gens les partagent
Un mot qui résume bien l'étude : ACTIF

29 oct. 2008

Reseaux sociaux : Des exemples frappants

Vous avez de la misère à convaincre vos clients qu'une bonne stratégie de communication peut inclure un réseau social ?

Allez voir les gagnants du 2008 Forrester Groundswell Award et vous aurez de bonnes munitions pour les convaincres ! Voici l'exemple d'une compagnie de crédit albertaine qui voulait ciblé les jeunes de moins de 25 ans :
The challenge was to launch a free checking account for the under 25 group and connect with the youth market in Northern Alberta. But how do you raise brand awareness with members of the seemingly unreachable Generation Y and create excitement and understanding with all 400 staff members?

We named the new product Young & Free and created a fully integrated marketing campaign combined with a spokesperson search to find the voice of Alberta's under 25 crowd. The whole campaign comes to life on a dedicated microsite at YoungFreeAlberta.com.
Résultats

  • 63,431 site visits
  • 197,529 page views
  • 3:14 average visit
  • 80,726 YouTube views
  • 906 blog comments
  • 230 Facebook fans
  • 101 Twitter followers
  • $179,000 unpaid media
  • 2,000,000+ impressions
  • 2,316 Y&F accounts
  • $3,587,000 new funds
Account openings have been brisk, site traffic has exceeded expectations and media and youth interest in the program has been overwhelming. Since the program launched in October 2007, new account openings have grown by 960% over the same period one year prior in the 19 to 25 year old age group. Traffic and sales have been steady for the entire year even though all supporting traditional media stopped after the first two months of the program.

Pas mal du tout non ?

9 oct. 2008

LinkScape : Pas encore sure que je m'abonnerais

Suite à un billet de Guillaume Brunet sur le blogue de l'Association Marketing de Montréal, je reprends ici le commentaire de ma première impression de cet outil que j'ai laissé en commentaire sur son billet avec une petite bonification :
Je suis un peu dubitatif devant cet outil. J’ai justement terminé HIER l’exercice d’aller voir les liens (et surtout leurs valeurs) pour un client, et ce manuellement avec un autre outil du nom de Link Harvester qui lui me donne simplement les liens en brut mais en les classant souvent selon leur importances avec multiples références.

La qualité des liens est-elle vraiment pris en compte ?

Ce client est du domaine écomique mondial et a des liens de beaucoup d’organismes comme l’ONU, OCDE, UNESCO, NATO sans parler des agences et ministères gouvernementaux à travers le monde et des grands médias de la planète, et ce avec des liens qui datent jusqu’à 2001. Ces liens prestigeux sont souvent à partir de pages avec des PageRank de 4 à 7 (oui j’ai vu du PR7 même pour des pages en profondeur).

Le verdict de LinkScape : 4.67 sur 10. Wow ! Je trouve que la qualité n'est vraiment pas pris en compte ici !

J’ai laissé une chance à l’outil et évalué sa puissance de forage à la place de son jugement de qualité. J’ai refais l’exercice pour Michelle Blanc et voici les données de mon outil :

Links To Domain: 52300
Links To Homepage: 44400
Pages Indexed: 38700
Deep Link Percentage: 15%

Il me resort ensuite 515 liens de qualité de site commerciaux (*.com, *.net, *.) avec 344 liens qui proviennnent de bloc C unique.
Mais, même mon outil n’est pas parfait, car il resort au moins 2 liens de TechCrunch pointant sur Michelleblanc, et ces liens sont en fait du TrackBack et ont donc depuis plusieurs mois presque plus de “jus” dû à un attribut “nofollow”.

Morale : Les services en ligne ne rivalisent pas souvent avec un vieux singe.

7 oct. 2008

Sept trucs pour se sortir de la recession

Très bons les trucs de John Jantsch de Duct Tape Marketing :
  • Se trouver des partenaires d'affaires
  • Relancer ses anciens clients
  • Sortir et serrer des mains
  • Créer des évenements et participer à des conférences
  • Faire du suivit
  • Revamper (et élargisser) votre offre de services
  • Convertissez les lacunes en marketing de vos clients

3 oct. 2008

W.illi.am et CVENDU : Marketing Web ???

Reçu cette semaine un courriel me prévenant que Génération Flash devient w.illi.am.
Bon, petit tour sur le site et vois ceci :
  • Analyse et stratégie
  • Marketing Web
  • Ergonomie d'applications numériques
  • Analyse de performance Web
Je vais ensuite, comme à l'habitude, voir le site d'un de leurs clients : CVendu. Comme à l'habitude je vais voir les résultats dans Google :

Cliquez l'image pour l'agrandir

Disons que le côté marketing Web laisse un peu à désiré quand on regarde les résultats ci-haut ! Aucune balise Titre et URLs d'optimisé!

27 sept. 2008

La Presse innove avec un dossier Podcast et son concours papier et en ligne

Quelle ne fut pas ma surprise de voir à la Une de La Presse, un dossier sur la rue St-Laurent en format podcast ce matin. Surtout qu'étant dans Charlevoix ce week-end, La Presse il faut la chercher un peu plus loin qu'au dépanneur du coin !



Donc,en plein sur la Une, le dossier Podcast Boulevard St-Laurent (fichiers audios numérisés servant ici d'audio-guide) et un concours chasse aux trésors qui se tiennent autant dans la version papier que sur le Web de façon traditionnelle et en version audio (Podcast).


Vraiment génial d'allier; journal papier + podcast + concours = Rajeunissement du lectorat et sérieux bon coup de marketing auprès des jeunes. Bravo à cette initiative qui rejaillit aussi beaucoup sur Montréal !

21 août 2008

Iterasi devient un incournable et fera probablement mal a Delicious

Iterasi est un service de signets un peu plus 2.0 que Delicious qui ne se contente pas que de conserver l'URL d'une page. Iterasi lui aspire la page en entier avec images et liens et la conserve sur ses serveurs.

Dans sa nouvelle mouture, qui est maintenant accessible pour ceux carburant sous Mac, il permet maintenant une automatisation des captures de page automatique. Ceci est extrèmement précieux pour des sites dynamiques sans archives, comme par exemple, la section nouvelles de Radio-Canada. Ainsi en programmant très simplement le module de capture automatique, j'aurais les nouvelles du midipour chaque jour de l'année archivé sur Iterasi.

20 août 2008

Fermeture de TaTv

Dommage, car j'avais fait un bon boulot avec ce site, car il était totalement absent des écrans radar des moteurs de recherche en 2006 dû à une mauvaise navigation et un design très lèché mais pas propice du tout pour mettre son contenu en première page des résultats des moteurs de recherche.

Ce domaine de l'annonce classé est aussi fortement compétitif avec des sites comme Kijiji et les PAC qui ont été très implantés plus tôt sur la Toile.

C'est dommage car avec des termes comme Vaisseliers et buffets (1e position), annonces propriétés commerciales (1er) ou même uniquement propriétés commerciales (2e), Mobiliers de bureau (3e), Accessoires de jardin (4e) et une foule d'autres rubriques, le site de TaTv fait (bientôt avait fait) belle figure.