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12 mai 2019

Rapport 2019 sur le marketing des médias sociaux


Comment les spécialistes du marketing utilisent les médias sociaux pour développer leurs activités

 

Questionnaire demandé aux spécialistes du marketing s'ils souhaitaient obtenir des réponses à des questions générales de marketing social.

Le graphique ci-dessous indique le pourcentage de répondants qui étaient d'accord ou tout à fait d'accord pour dire qu'ils cherchaient des réponses à ces questions. Au moins 85 % des spécialistes du marketing interrogés étaient intéressés par les réponses à toutes les questions suivantes :
Social Media Examiner


Quels sont les bénéfices du marketing des médias sociaux ?

 

Un pourcentage significatif de 93 % de tous les spécialistes du marketing ont indiqué que leurs sites de médias sociaux ont généré plus de visibilité pour leurs entreprises. L'augmentation de ce trafic a été le deuxième avantage majeur, avec 87 % des résultats positifs. Ces prestations sont demeurées dans les deux premiers rangs au cours des cinq dernières années.

Tous les avantages se sont améliorés depuis 2018:
Social Media Examiner


  • L'exposition a augmenté de 87% à 93%,
  • Le trafic a augmenté de 78% à 87%,
  • Le nombre de prospects est passé de 64% à 74%,
  • Les ventes ont augmenté de 53% à 72%
  • Les fans fidèles développés de 63% à 71%.
  • Le taux de pénétration du marché est passé de 54 % à 58 %
  • Le leadership intellectuel est passé de 46 % à 57 %
  • Les partenariats commerciaux sont passés de 49 % à 56 %

La question qui ressort naturellement du tableau ci-dessus est : "Les spécialistes du marketing qui utilisent les médias sociaux depuis des années ont-ils obtenu de meilleurs résultats ? Les graphiques suivants répondent à cette question.

 


Quelles sont les plateformes de médias sociaux les plus utilisées ?


Facebook et Instagram sont les deux principales plateformes utilisées par les spécialistes du marketing, et de loin. Toutes les autres plates-formes accusent un retard par rapport à ces deux premières.
Social Media Examiner


CHANGEMENTS NOTABLES DEPUIS 2018

  • Instagram est passé de de 66 % à 73%.
  • Twitter a chuté de 62% à 59%.
  • LinkedIn est passé de 56 % à 58 %.
  • YouTube est passé de 50 % à 54 %.
  • Pinterest à légèrement augmenté de 27% à 28%.
  • Snapchat a baissé de 8% à 6%.



Quelle est la plateforme sociale la plus importante pour les spécialistes du marketing ?


Social Media Examiner
Nous avons demandé aux spécialistes du marketing de choisir la plateforme sociale la plus importante pour leur entreprise. Parce qu'un seul choix était permis, les résultats sont révélateurs.

La plupart des spécialistes du marketing (61 %) ont choisi Facebook comme plateforme la plus importante. Ce graphique révèle clairement que Facebook est toujours la principale plateforme pour les spécialistes du marketing.

CHANGEMENTS NOTABLES DEPUIS 2018

  • Facebook a chuté à 61% comparativement à 67% en 2018.
  • Instagram a sauté de l'emplacement no 3 à l'emplacement no 2, en hausse de 4%.
  • LinkedIn a perdu le créneau #2, mais est passé de 12% à 14%.
  • YouTube est passé de 4% à 5 %. 

 

 La montée et la chute des plateformes sociales sur 5 ans

Social Media Examiner
 
Nous montrons ici les quatre principales plateformes sociales que les spécialistes du marketing jugent les plus importantes sur une période de 5 ans.

Pour la première fois en 5 ans, Facebook a perdu des parts de marché en tant que plateforme la plus importante pour les spécialistes du marketing, passant de 67% en 2018 à 61% en 2019.

La montée en puissance d'Instagram se voit clairement (en bleu), à côté du déclin de Twitter (en jaune).

Vous pouvez trouver la page originale du rapport ici :
https://www.socialmediaexaminer.com/report2019/



Au Québec 2016 et 2018

Au Québec 2015, 2016 et 2018



Au Québec 2016 à 2018


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20 avr. 2010

Les influenceurs des réseaux sociaux

Deux études aujourd'hui sur les influenceurs par Forester. La première sur le blog de Augie Ray de Forester où on voit que :



Même si ils ne représente que 6.2% et 13.4% des internautes, les disséminateurs de marques et les "virtuoses" du marketing sur réseaux sociaux influent sur 80% des présences de produits et services sur les réseaux sociaux.

Ensuite, encore chez Forester on mentionne plus du double, soit 500 milliards d'impressions influençables après avoir extrapollé sur le phénomène du WoM !

3 mars 2010

Entreprises et médias sociaux : Étude de cas

Voici une entreprise qui a très bien apprivoisé certains des médias sociaux, mais qui a faillit sur un autre. Pas facile de les apprivoiser tous.

Twitter

C'est une des meilleures utilisation de ce réseau social qui a été porté à mon attention jusqu'à maintenant. Outre le nombre impressionnant d'abonnés (+ de 1,750,000 followers) aujourd'hui et un nombre respectable d'abonnements (+ de 575,000 following) les trois choses qui m'ont le plus marquer sur cette page sont :

  1. L'utilisation d'URL de simplifié de Bit.ly comme indicateur de liens en colonne de droite, car c'est un fond d'image et par ce fait non-cliquable, mais "monitorable" grâce à Bit.ly.
  2. Et surtout le lien dans le profil à droite qui pointe sur une page spécifique dédié à Twitter (http://www.wholefoodsmarket.com/twitter) et qui démontre et confirme que ce compte Twitter est effectivement bien issue de cette compagnie.

La surprise ensuite vient du nombre de comptes Twitter opéré par cette compagnie, plus deux cents principalement par Cotweet qui a été acquis aujourd'hui par ExacTarget. à

Divisés en plusieurs catégories (Global, Topical, Metro area et Stores) on a vraiment l'impressionnant que cette compagnie prend au sérieux le service à la clientèle et gère très bien ses communications.

Facebook

Avec plus de 200,000 fans, Whole Foods Market est très actif aussi sur FaceBook. Des dizaines de commentaires sur chacunes de ses interventions, des centaines de "Likes This", Whole Foods gère assez bien cet autre réseau.


YouTube écorche Whole Foods mais son blogue fait preuve de grande transparence.

Ici c'est un peu le réseau social qui est le plus négligé. ABC a fait un reportage sur l'achat de produits bios de WF faits en Chine, mais avec des emballages qui laissaient supposé que c'étaient des produits américains. Je ne comprends pas que WF n'ai pas tenté de produire et mettre ddes vidéos elle aussi sur YouTube pour désarmorcer l'effet négatif de ce reportage. Par contre sur son blogue elle a joué de transparence et expliqué longuement son comportement dans cette histoire.

12 févr. 2010

Près de 200,000 profiles de Google Buzz indexés après 3 jours seulement

Le moteur de recherche de Google commence a indexer nos profiles dans son index. Voici le résultat actuel qui donne à cette heure 16h (EDT) environ 170,000 résultats.

J'ai fait des tests rapides et je n'ai pas encore trouvé en bonne position des buzz de Google mais par contre, quelques résultats sur la section About dont celle-ci qui me semble une très bonne première utilisation marketing de Google Buzz quoi que j'aurais mis un texte spécifique à Buzz ici car ce même texte a été utilisé dans plusieurs autres sites et le profile de cette cie ne sort qu'en 8e position actuellement.

Eric Baillargeon SEO et rayonnement Web

Je vous conseille donc, comme je viens de le faire, de modifier votre nom de famille pour y ajouter des mots-clé pertinent si vous voulez en faire un outil de plus pour votre branding.

5 janv. 2010

Vers la 2eme decennie du rayonnement Web

Les réseaux sociaux et le marketing des MOMs (mini ordinateur mobile ;-) ne seront plus l'apanage des départements de marketing, ressources humaines et des communications dans la prochaine décennie et commenceront à transformer le reste de vos organisations.

Dans les départments B2B, dans la recherche et développement, dans la facturation et les finances, des RH et du recrutement, du service à la clientèle, le marketing médias sociaux/mobile (qui devra être géré adéquatement dans le 2e cas) fera une grande percée dans ces départements dans cette deuxième décennie du troisième millénaire.

L'arrimage social des sites corporatifs sera aussi une tendance forte de cette fin de deuxième décennie. Après s'être épivardé dans de multiples médias sociaux où la veille et la gestion des UGC, le rappatriment des contenus et conversations via des APIs seront une obligation vers la fin des années 2010.

Une autre tendance à venir sera la segmentation marketing pour chacun des canaux de communication. Ceci est obligatoire sil l'on veut véritablement mesurer le RSI (ROI) d'une campagne sur un réseau social spécifique. Donc chaque campagne devra être unique à chaque média social ciblé et ceci est parfaitement logique car nos "amis"/"suiveux"/"abonnement" sont habituellement de niche assez différente selon chaque média social.

19 oct. 2009

Publicité et agences : Deux ans plus tard, ont-ils compris ?

Voici une étude qui a été publié en septembre 2007 par IBM et intitulé "The end of advertising as we know it" et que j'avais cite ici en novembre 2007.

Note: J'ai ajouté quelques points en gras et insertions en vert)

IBM prédit la fin de la publicité telle que nous la connaissons - Septembre 2007

Le groupe Services d’affaires mondiaux IBM vient de publier son dernier rapport, The End of Advertising as We Know It (La fin de la publicité telle que nous la connaissons), dans lequel il prévoit que l’industrie de la publicité connaîtra dans les cinq années à venir une perturbation d’une ampleur inégalée au cours des 50 dernières années. IBM a réalisé un sondage auprès de plus de 2 400 consommateurs et 80 directeurs de la publicité à l’échelle mondiale. Les résultats révèlent que l’habilitation grandissante des consommateurs, l’autosuffisance accrue des annonceurs et les technologies en constante évolution sont en train de redéfinir la vente, la création, l’utilisation et le suivi de la publicité.

Ainsi, les joueurs du monde de la publicité traditionnelle risquent de voir leurs recettes chuter alors que les budgets seront rapidement réaffectés à de nouveaux formats interactifs, dont la croissance prévue sera de cinq fois celle de la publicité traditionnelle. Pour survivre au sein de cette nouvelle réalité, les diffuseurs doivent changer leur attitude ancrée vis-à-vis du grand public et répondre aux besoins des segments de consommation par créneau et les agents de distribution doivent offrir de la publicité interactive ciblée pour une vaste gamme de dispositifs multimédias. Les agences de publicité doivent expérimenter sur le plan de la création, se transformer en courtiers de données sur la consommation et orienter l’affectation des dollars de publicité au sein d’une explosion de choix. Tous les concernés doivent s’adapter à un univers dans lequel l’achat et la vente de publicités se font de plus en plus dans des marchés ouverts plutôt que par les voies traditionnelles.

« L’adoption du divertissement numérique se fait beaucoup plus rapidement qu’on l’avait prévu. Le milieu de la publicité doit donc complètement réorienter ses activités afin de répondre aux besoins de consommateurs qui, de plus en plus, accèdent à du contenu dans des formats non linéaires, précise Bill Battino, associé délégué du secteur des communications, Services d’affaires mondiaux IBM. Les entreprises doivent revoir leur façon de présenter le contenu aux consommateurs grâce à des modèles de gestion qui sont davantage axés sur l’engagement des consommateurs dans une relation. »

Le rapport dégage quatre moteurs du changement qui font pencher la balance des pouvoirs de l’industrie de la publicité : le contrôle de l’attention, la créativité, la mesure et les stocks de publicités. Comme l’indique le sondage mondial d’IBM sur les médias et le divertissement mené auprès des consommateurs et publié en août, l’attention des consommateurs s’est déplacée et le temps de navigation dans Internet à des fins personnelles rivalise désormais le temps d’écoute de la télévision.

Les consommateurs en ont assez de la publicité interruptive et prennent de plus en plus les commandes du filtrage, de la distribution et de l’utilisation de contenu et des messages publicitaires qui leurs sont associés ainsi que de l’interaction avec ceux-ci. Les résultats du sondage d’IBM révèlent que la moitié des propriétaires de magnétoscope numérique visionnent 50 % ou plus de la programmation en différé et que la publicité télévisée traditionnelle est impossible à transposer en ligne : 40 % des répondants considèrent la diffusion de publicités au cours d’un segment vidéo en ligne plus irritante que toute autre forme de publicité. De plus en plus d’amateurs et de semi-professionnels créent du contenu publicitaire à peu de frais et menacent du fait les agences de création (Ex : lipdub). Quant aux maisons d’édition et aux diffuseurs, ils étendent leurs rôles de création. Les annonceurs réclament une responsabilité et des mesures plus précises relatives au consommateur, et ce, pour toutes les plateformes publicitaires. Les marchés publicitaires libre-service s’accaparent des recettes qui étaient autrefois l’apanage de canaux ou de transactions exclusives.

Les attentes des experts en publicité sont conformes aux tendances mondiales en matière de consommation.

La recherche d’IBM révèle que la nature changeante des consommateurs n’a pas échappé aux experts en publicité, qui voient également poindre des changements profonds à l’horizon. Plus de la moitié des professionnels de la publicité interrogés par IBM s’attendent à ce que, au cours des cinq prochaines années, les marchés publicitaires ouverts (qui sont actuellement dirigés par des sociétés telles que Google, Yahoo et AOL) s’approprient 30 % des recettes que recueillent actuellement les diffuseurs et les médias traditionnels. Près de la moitié des répondants au sondage prévoit une réduction sensible (supérieure à 10 %) des recettes provenant du message publicitaire de 30 secondes dans les cinq prochaines années et presque 10 % des répondants sont d’avis que cette réduction sera importante (supérieure à 25 %). Les deux tiers des experts en publicité interrogés par IBM prévoient que 20 % des recettes publicitaires passeront des formats de publicités par impressions aux publicités par chocs en l’espace de trois ans.

« La publicité demeure une partie intégrante de la culture populaire et continue de financer une partie importante du divertissement partout dans le monde, explique Saul Berman, chef du groupe-conseil Stratégies et changements, Médias et divertissement IBM. Elle doit néanmoins s’adapter aux nouveaux formats et offrir une valeur plus intrinsèque aux consommateurs, qui disposeront de plus de choix. Compte tenu de la mine de nouveaux débouchés publicitaires, l’analyse des consommateurs jouera un rôle plus prépondérant que jamais quelle que soit la position d’une entreprise dans la chaîne de valeur. Les jeunes en particulier n’ont pas l’habitude de payer pour obtenir du contenu. En dépit du contrôle plus étroit qu’exercent les consommateurs sur le contenu et la publicité, nous imaginons un monde dans lequel ces derniers continueront de préférer le visionnement de publicités au paiement direct pour du contenu. »

Selon le rapport d’IBM, d’ici 2012, le paysage de l’industrie connaîtra une transformation si profonde que les joueurs de l’industrie de la publicité, afin de survivre, devront prendre des mesures énergiques pour innover dans trois domaines clés :
  • Consommateurs - Faire de la microsegmentation et de la personnalisation les éléments suprêmes de la mise en marché.
  • Modèles de gestion - Le mode et le lieu de vente des stocks de publicités, la structure et les formes de partenariats, les modèles de recettes et les formats de publicité. ·
  • Conception et infrastructure commerciales - Tous les concernés doivent repenser les ressources organisationnelles et d’exploitation du cycle de vie publicitaire afin de soutenir l’innovation à l’égard du consommateur et du modèle de gestion : rapports sur l’analyse des consommateurs, la planification des canaux, la achat et la vente, la création, la prestation et l’impact.
IBM croit que tous les joueurs devront investir de façon importante dans l’analyse des consommateurs et l’automatisation afin d’en apprendre davantage sur ces derniers et sur la façon de les joindre. Par exemple, la publicité interactive jumelée à des données d’analyse sur la consommation fournit des renseignements probants sur qui a visionné une publicité et y a donné suite plutôt que des estimations d’impressions, et permet donc aux annonceurs de maximiser leurs recettes et la gestion de la recette unitaire. Les joueurs de l’industrie devront par ailleurs vérifier s’ils disposent des ressources et des moyens nécessaires pour prendre en charge un plus grand nombre de promotions de mise en marché et de ventes de publicité intégrée. Enfin, IBM a noté que la montée en flèche du nombre et de la diversité de promotions entraîne un investissement accru dans des outils qui servent à transformer numériquement les flux des travaux des entreprises, dont les processus de gestion de contenu, de création, de production et d’approbation, ainsi qu’à en réduire le coût.

Autres faits saillants de l’enquête :

Attitudes des consommateurs vis-à-vis de la publicité

  • Les magnétoscopes numériques permettent d’ignorer les publicités à grande échelle : La moitié des propriétaires de magnétoscope numérique visionnent 50 % ou plus de la programmation en différé (le taux d’utilisation du magnétoscope numérique au sein des répondants était d’environ 25 %).
  • Les formats de publicité télévisée traditionnelle sont impossibles à transposer en ligne : 40 % des répondants considèrent la diffusion de publicités au cours d’un segment vidéo en ligne plus irritante que toute autre forme de publicité.

Les comportements des consommateurs sont dictés par la génération à laquelle ils appartiennent.

Le sondage réalisé par IBM auprès de consommateurs à l’échelle mondiale révèle des différences importantes dans les comportements des ados « cool », des adeptes de gadgets et des « passifs massifs » :
  • Ados « cool » : Sont nombreux à utiliser les sources de contenu nouveau, gratuit et interactif (75 % dans des sites de réseautage personnel, <15>
  • Adeptes de gadgets : Sont deux fois plus portés à passer du temps en ligne qu’à regarder la télévision et cinq fois plus susceptibles de faire une contribution à des sites de contenu vidéo que les « passifs massifs » ; disposent d’un revenu élevé.
  • « Passifs massifs » : Sont davantage disposés à payer pour du contenu (répartition de 50-50), s’intéressent davantage aux expériences de détente - par conséquent, affichent le taux d’adoption le plus élevé pour la télé payante, les abonnements à des quotidiens en ligne.

Les consommateurs s’adonnent à la création

Les consommateurs participent de plus en plus à la création et à la diffusion de messages :
  • Les consommateurs fréquentent en grands nombres les sites qui subissent l’influence d’utilisateurs : Les sites de réseautage personnel (45 %) et les sites qui présentent du contenu produit par les utilisateurs (33 %) sont ceux dont l’adoption est la plus répandue au sein des répondants - plus élevée que la télé payante (24 %), les quotidiens en ligne (18 %) ou même les services musicaux comme iTunes (24 %).
  • Les utilisateurs fournissent de plus en plus de contenu : 26 % contribuent du contenu à des sites de réseautage personnel et près de 10 % à des sites de contenu vidéo comme YouTube.
  • Les utilisateurs sont des influenceurs de confiance : 32 % ont dit visiter des sites selon les recommandations d’amis, 60 % de ceux qui ont contribué du matériel l’ont fait pour la célébrité (reconnaissance) plutôt que pour l’argent (valeur pécuniaire).

Les annonceurs suivent les tendances des consommateurs

  • Entend réduire ses dépenses en publicité télévisée : 44 % des annonceurs ont dit prévoir une réduction sensible ou importante (c.-à-d., 10 % ou 25 % respectivement) de leurs dépenses en publicité télévisée au cours des cinq prochaines années en raison du changement du comportement du consommateur.
  • Veut des modèles de responsabilité : Deux tiers des professionnels de la publicité interrogés s’attendent à ce que 20 % ou plus des publicités par impressions passent aux publicités par chocs en l’espace de trois ans. Prévoit une perturbation : La majorité (>50 %) des répondants s’attend à ce que de nouveaux aggrégateurs en ligne (diffusion automatisée et à peu de frais des publicités) s’accaparent 30 % de la part des recettes des titulaires de médias en cinq ans.


Ont-ils compris ?

25 août 2009

Les reseaux sociaux de plus en plus actifs et populaire

L'étude Groundwell de Forrester nous montre, - encore plus qu'en 2008-, que les réseaux sociaux ont la cote en 2009. La portion publié gratuitement sur les États-unis aujourd'hui nous montre une certaine augmentation des créateurs de contenu mais surtout une très bonne augmentation des participants (joiners).

Voici déniché sur leur site, les graphiques de l'étude décortiquée par pays :

Créateurs: Publie un blogue et/ou des pages Web et/ou téléverse des vidéos et/ou de la musique personnelles.
Critiques: Publie ou côte des appréciations de produits/services.
Collectionneurs: Utilise les fils RSS et/ou ajoute des étiquettes aux photos et/ou vote pour des sites Web.
Participants: A un profil à jour sur un réseau social et/ou visite des réseaux sociaux.
Spectateurs: Lit/regarde/écoute le contenu des autres.
Inactifs: Ne créer ni ne consomme du contenu social.

25 janv. 2009

Les réseaux sociaux sont de plus en plus de bons référents

En vérifiant mes statistiques Web ce matin j'ai été surpris par l'augmentation spectaculaire des réseaux sociaux dans les statistiques de ce blogue. Je suis donc aller voir les statistiques d'amis et clients qui les utilisent et voici le topo :

Sites
Échantillon % Réseaux
Site 1
87,000 visiteurs
7.5%
Site 2
55,000 visiteurs
5.2%
Site 3
25,000 visiteurs
5.5%
Site 4
97,000 visiteurs
3.5%
Total
264,000 visiteurs
5.4%
Les réseaux sociaux ici sont Facebook, Twitter et FriendFeed

Le même exercice fait avec les données de l'été 2008 donne 2.1%.

19 nov. 2008

Les reseaux sociaux et Twitter c'est 10% de votre clientele : Adieux GYM bienvenue GTF



Il y a moins d'un an s'aurait été GYM pour Google, Yahoo, Microsoft, maintenant c'est GTF pour Google, Twitter et Facebook !

Twitter et Facebook représente maintenant plus de 12% de ma clientèle et c'est en constante augmentation de semaine en semaine. C'est un aspect non-négligeable quand les "twits" et changement de statut sur Facebook sont effectués avec parcimonie. Aujourd'hui seulement c'est près de 30% de mes visiteurs qui sont venu de Twitter ou de Facebook.

Sur certains site de mes clients qui commencent seulement à utiliser Twitter les résultats tournent aussi dans ces mêmes chiffres de 10% en moyennne et c'est pratiquement certain qu'avec l'utilisation des IPhones et autres téléphones mobiles la proportion croîtra de mois en mois.

11 nov. 2008

Tarpipe : L'interconnecteur de vos réseaux sociaux

Je suis assez surpris par cette petite startup portugaise nommé Tarpipe qui nous permet de connecter nos divers réseaux sociaux soit par courriel ou par REST (définiton ici).

Ainsi en envoyant un simple courriel à mon adresse chez Tarpipe celui-ci est décodé et l'information qui le compose ira à mes comptes Twitter, Delici.ous, FriendFeed (pas dans la capture d'écran) et Flickr. Voici l'interface de TarPipe qui est très semblable à Yahoo Pipes que j'utilise toujours et dont je vous avais parlé à son lancement.

Cliquez pour agrandir

Tarpipe utilise présentement les Flickr, PhotoBucket, Twitter, Jaiku, Plurk, FriendFeed, TinyURL, et Tumblr. Je suis fortement confiant que cette liste va bientôt s'allonger pour inclure les YouTube, FaceBook et MySpace très bientôt.

Vous aurez plus d'explication sur le blog de TarPipe ici.

30 oct. 2008

Le rapport Feed de Razorfish sur l'adoption rapide du Web 2.0

Étonnant constat que le rapport Feed (PDF 18 meg ou rapport Flash ici) de Razorfish, - première agence marketing Web au monde -, sur l'adoption si rapide des technologies Web 2.0 (réseaux sociaux, micro-blogue, Widget, RSS, etc) par les utilisateurs que les experts de l'industrie y ont de la peine à suivre.

...today’s consumer is more technically adept, open for experimentation and—most importantly—active than ever before.
Et voici quelques statistiques tiré de cette étude qui vaut vraiment le détour :

  • 28% utilise assez fréquemment Twitter (qui est un relativement nouveau)
  • 41% utilise assez fréquemment des étiquettes (tag cloud)
  • 52% utilise assez fréquemment les fils RSS
  • 52% ont partagés des signets avec des service comme del.icio.us
  • 55% use widgets on the computer
  • desktop with some frequency
  • 62% utilise assez fréquemment des widgets sur des sites comme Facebook ou iGoogle
  • 81% remarquent les liens “Most Popular” ou “Most Emailed” assez fréquemment
  • 94 % consomment des vidéos en ligne
  • 52 % ont téléchargés des vidéos de leur cru et 84% des gens les partagent
Un mot qui résume bien l'étude : ACTIF

29 oct. 2008

Reseaux sociaux : Des exemples frappants

Vous avez de la misère à convaincre vos clients qu'une bonne stratégie de communication peut inclure un réseau social ?

Allez voir les gagnants du 2008 Forrester Groundswell Award et vous aurez de bonnes munitions pour les convaincres ! Voici l'exemple d'une compagnie de crédit albertaine qui voulait ciblé les jeunes de moins de 25 ans :
The challenge was to launch a free checking account for the under 25 group and connect with the youth market in Northern Alberta. But how do you raise brand awareness with members of the seemingly unreachable Generation Y and create excitement and understanding with all 400 staff members?

We named the new product Young & Free and created a fully integrated marketing campaign combined with a spokesperson search to find the voice of Alberta's under 25 crowd. The whole campaign comes to life on a dedicated microsite at YoungFreeAlberta.com.
Résultats

  • 63,431 site visits
  • 197,529 page views
  • 3:14 average visit
  • 80,726 YouTube views
  • 906 blog comments
  • 230 Facebook fans
  • 101 Twitter followers
  • $179,000 unpaid media
  • 2,000,000+ impressions
  • 2,316 Y&F accounts
  • $3,587,000 new funds
Account openings have been brisk, site traffic has exceeded expectations and media and youth interest in the program has been overwhelming. Since the program launched in October 2007, new account openings have grown by 960% over the same period one year prior in the 19 to 25 year old age group. Traffic and sales have been steady for the entire year even though all supporting traditional media stopped after the first two months of the program.

Pas mal du tout non ?

20 oct. 2008

Adoption des medias sociaux sur la planète : Le Canada en fin de peloton

Encore, cette année les coréens sont les grands champions de la création de contenu social selon les études de Forester réalisés avec un échantillon de plus de 100,000 personnes sur quatre continents.

Légende :

Créateurs: Publie un blogue et/ou des pages Web et/ou téléverse des vidéos et/ou de la musique personnelles.
Critiques: Publie ou côte des appréciations de produits/services.
Collectionneurs: Utilise les fils RSS et/ou ajoute des étiquettes aux photos et/ou vote pour des sites Web.
Participants: A un profil à jour sur un réseau social et/ou visite des réseaux sociaux.
Spectateurs: Lit/regarde/écoute le contenu des autres.
Inactifs: Ne créer ni ne consomme du contenu social.









Progression annuelle spectaculaire

À voir les coréens s'impliquer de plus en plus dans les médias sociaux, il reste plusieurs bonnes années aux nord-américains et spécialement aux canadiens avant d'adopter les médias sociaux et le Web 2.0
Corée du sud
­
Types de participants 2007 2008
Créateurs: 38 51
Critiques: 27 51
Collectionneurs: 14 24
Participants: 41 51
Spectateurs: 39 79
Inactifs: 36 7

États-Unis
­
Types de participants 2007 2008
Créateurs: 1921
Critiques: 25 37
Collectionneurs: 12 19
Participants: 25 35
Spectateurs: 48 69
Inactifs: 44 25

19 sept. 2008

OpenaCircle : Un reseau social d'affaires

Il semble très intéressant ce nouveau venu dans le monde des réseaux sociaux. Par contre, il ne supporte pas Firefox ce qui m'a refroidit un tantinet. Il y a aussi cette avant-dernière ligne du billet de Sarah Perez qui m'a freiner lorsque le temps était venu d'envoyer des invitations à mes contacts :
The service is available for free while in beta.
Je vais atteindre un peu avant de balancer trop d'information là !

19 août 2008

La 3e vague : Superbe Etude sur les reseaux sociaux

Avec un échantillon de 17,000 internautes, cette étude (PDF -mars 2008) des habitudes de consommation des réseaux sociaux est un très beau travail de recherche axé en trois phases et est très bien rendu. Les points qui m'ont frappé :

  • 83% ont vu des vidéos en ligne
  • 73% des internautes ont lus un blog
  • 57% ce sont inscrit à un réseau social
  • 45% ont crée un blog ( j'imagine que l'Asie y est pour beaucoup ici)
  • 39% se sont abonnés à un fil RSS (même remarque)
  • 36% endosse plus volontier une compagnie qui a un blog
  • Les canadiens sont à la queue du peloton pour la lecture des blogues


30 juin 2008

Payant la voie du Web 2.0 ? On peut presager que oui

Les résultats de H&R Block surprennent les analystes financiers, mais étonnent beaucoup moins ceux qui suivent les méthodes de marketing Web de cette compagnie sur les réseaux sociaux (et autres Twitter et Second Life) pour aller ce chercher une clientèle plus jeune et dynamique.

28 mai 2008

Le premier ministre Chinois sur Facebook ou comment se faire 16,255 amis en 14 jours

C'est mon ami Denis Coderre qui va être jaloux ;-) Hé oui le premier ministre Chinois Wen Jia-bao à démarré sa page Facebook le 14 mai et à maintenant 16,260 amis sur Facebook (merde déjà cinq de plus depuis que j'ai commencé ce billet).

Bizarrement, l'audience Chinoise de Facebook, elle ne s'est accru que de environ 5,000 personnes depuis son arrivée dans Facebook ?

29 avr. 2008

Blogue : Les billets "Dysoniens" ont-ils miné la confiance des lecteurs de blogues ?

Note: Le terme "Dysonien" du titre fait ici référence au petit "scandale" que certains bloggueurs(ses) avaient provoquées lors de la publication de billets sur des aspirateurs sans en avoir avertit les lecteurs que c'était une opération de publi-reportage.

Voici donc une nouvelle étude de Forrester Reserch sur la confiance accordé au diverses sources d'informations en ligne :
On s'aperçoit qu'une évalutation d'un produit faîtes par un bloggueur est maintenant totalement au bas de l'échelle de confiance avec un maigre 30%. Pourtant si on se réfère à une autre étude publiée l'an dernier, - mais de Nielsen cette fois là-, la confiance était de 61% (consumer opinions posted online). Le bouche à oreilles par contre à légèrement augmenté ce qui confirme une fois de plus que plus la source nous est familière, plus elle a de crédibilité pour nous.

25 avr. 2008

Previsions optimistes de Forester sur les depenses en Web 2

Les prévisions de dépenses décroissent selon la taille des entreprises ce qui fait du sens, surtout que plusieurs technologies Web 2.0 sont peu dispendieuses ou même gratuite comme le souligne Jeremiah dans son billet sur leurs prédictions. Cette étude rejoint un peu aussi celle que nous présente Jean-Michel Salaun sur les tendances en investissement dans les secteurs de l'économie de l'information.


Ventilation par technologies déployés :