



Du mot-clé à l'intention | Offre de services en SEO/SXO & marketing Web
Le référencement et le marketing de contenu constituent l'épine dorsale de tous vos efforts de marketing,
le canal qui contribue au plus haut pourcentage de trafic et à une croissance régulière.
Critère | Critère # 1 | Critère # 2 | Dans le top 5 |
Prix | 48.8% | 19.5% | 91.0% |
Choix | 12.0% | 25.3% | 79.1% |
Utilisabilité/Convivialité | 12.0% | 8.7% | 57.3% |
Modes de paiement | 5.0% | 10.2% | 50.9% |
Service clientèle | 5.0% | 7.9% | 50.0% |
Promotions / publicité | 3.7% | 9.9% | 42.8% |
Accès aux avis des clients | 2.7% | 5.9% | 39.0% |
Possibilité d'achats multiples | 2.7% | 4.9% | 33.4% |
Reconnaissance du nom | 5.8% | 5.0% | 32.5% |
Recommandations d'amis/connaissances | 2.1% | 2.6% | 21.0% |
As with many Internet trends (2.0 is a recent example), cloud computing has broadened in meaning somewhat as diverse companies and tools have jumped on theÀ lire ici
“cloud” bandwagon. At its core, though, the idea is actually quite simple: the benefits of using applications, storage and processing capacity online can often outweigh the costs, especially as Internet connections speed up and offer near-instantaneous response.
Cloud computing, as defined by companies, has now expanded to include two key concepts. We will touch upon each of these in more detail below:
• Cloud applications and Software as a Service. Google Docs is a frequently cited example; essentially, these are apps that replace software you might have otherwise used on your own computer, such as a word processor or spreadsheet. At a somewhat higher level of complexity, companies such as Salesforce.com, which offer on-demand SaaS (software as a service) solutions, now describe their platforms as operating in the cloud.
• Cloud services. Amazon has been the notable leader here, though others, including Google and Microsoft, also have offerings; services include storage and processing time, and allow smaller companies to lower costs by taking advantage of the big guns’ superior processing power and purchasing power.
3. The network orchestrator (Diego): Diego's company is made up of virtual teams and workplaces. It involves a network of collaborating companies with efficient value chains and logistics. He is a master networker with an ability to spot trends ahead of the curve. He is flexible and easily changes course. Diego understands that creativity is as important as the bottom line contribution in measuring success for marketers.C'est tellement de plus en plus vrai et ceci dès maintenant pas en 2015 !
Eric Baillargeon, no hard feelings, and I think the people that liked the [cheerful achievement] Googlebomb enjoyed themselves for a few days. But by the goals that we’ve set for ourselves, Google can’t pick or choose which Googlebombs should be defused. That’s why we run our algorithm and use the results of that algorithm without making any manual changes ourselves.La Finale, c'est un spammeur qui prend la tête
Sites | Échantillon | % Réseaux |
Site 1 | 87,000 visiteurs | 7.5% |
Site 2 | 55,000 visiteurs | 5.2% |
Site 3 | 25,000 visiteurs | 5.5% |
Site 4 | 97,000 visiteurs | 3.5% |
Total | 264,000 visiteurs | 5.4% |
Confession : Je suis dans un de ces villes ou je me gratte la tête et dis "Je mourrais si j'avais a vivre ici"
Mr. Andrews,Morale, garder vos états d'âmes pour vous et ne les twitter pas !
If I interpret your post correctly, these are your comments about Memphis a few hours after arriving in the global headquarters city of one of your key and lucrative clients, and the home of arguably one of the most important entrepreneurs in the history of business, FedEx founder Fred Smith.
Many of my peers and I feel this is inappropriate. We do not know the total millions of dollars FedEx Corporation pays Ketchum annually for the valuable and important work your company does for us around the globe. We are confident however, it is enough to expect a greater level of respect and awareness from someone in your position as a vice president at a major global player in your industry. A hazard of social networking is people will read what you write.
Not knowing exactly what prompted your comments, I will admit the area around our airport is a bit of an eyesore, not without crime, prostitution, commercial decay, and a few potholes. But there is a major political, community, religious, and business effort underway, that includes FedEx, to transform that area. We’re hopeful that over time, our city will have a better “face” to present to visitors.
James, everyone participating in today’s event, including those in the auditorium with you this morning, just received their first paycheck of 2009 containing a 5% pay cut… which we wholeheartedly support because it continued the tradition established by Mr. Smith of doing whatever it takes to protect jobs.
Considering that we just entered the second year of a U.S. recession, and we are experiencing significant business loss due to the global economic downturn, many of my peers and I question the expense of paying Ketchum to produce the video open for today’s event; work that could have been achieved by internal, award-winning professionals with decades of experience in television production.
Additionally Mr. Andrews, with all due respect, to continue the context of your post; true confession: many of my peers and I don’t see much relevance between your presentation this morning and the work we do in Employee Communications.
(Signed as a personal message by a member of the FedEx Corporate Communications team)
script src=”http://s.bit.ly/bitlypreview.jsCe code s'insérait automatique dans chacun de mes billets sans que je le vois car j'utilise le mode wysiwyg de Blogger la plupart du temps. Finalement corrigé, le site est de nouveau fonctionnel sous Internet Explorer et mon traffic est passé de quelques dizaines de visiteurs par jour à quelques centaines. Il semble que je n'étais pas le seul et que sous Wordpress le même bogue arrive. Attention !
(j'ai enlevés les braquettes ici pour ne pas recréer le problème).
Tuesday, January 20th, 2009 at 12:01 pm
Change has come to WhiteHouse.gov
Welcome to the new WhiteHouse.gov. I'm Macon Phillips, the Director of New Media for the White House and one of the people who will be contributing to the blog...
Except where otherwise noted, third-party content on this site is licensed under a Creative Commons Attribution 3.0 License.Mise à jour 15h : Et même les robots des moteurs de recherche y ont beaucoup plus d'accès !
Ce billet traite avec justesse de l’intérêt pour une PME d’avoir une blog, surtout lorsque celle-ci ne dispose pas d’un budget marketing pharaonique. Les raisons listées sont valables (com’ externe, image, dialogue, référencement, motivation interne, veille, autorité de compétence…) mais ne traite pas de la dure réalité des blogueurs d’affaires : l’audience.Dans cette première partie du billet, - et très souvent où le lectorat débarque, ce n'est pas très emballant comme perpective. Celà me rapelle mon "peak" comme blogueur alors que j'avais été interviewé avec quelques autres bloggeurs de l'époque (mars 2006) et où mon audience était relativement "importante", pour ici au Québec il y a presque 3 ans :Celles et ceux qui se sont risqués récemment à rédiger un blog BtoB savent à quel point il peut être frustrant d’investir du temps et de l’énergie (de la passion ?) dans un blog qui génère un trafic somme toute très faible. Et c’est là où le bas blesse : parler de son métier limite fortement le lectorat d’un blog.
Autant quand le thème de votre blog est orienté lifestyle, gadgets ou séries TV, vous pouvez très rapidement acquérir une audience qui va vous stimuler dans votre travail d’écriture au quotidien, autant lorsque vous parlez de logistique ou de techniques de vente c’est tout de suite plus délicat et votre audience risque d’avoir une courbe de progression beaucoup plus plate. Non pas que le sujet soit moins intéressant, mais plutôt que la rencontre entre un sujet et son lectorat est beaucoup plus laborieuse.
C'est justement, pas très longtemps après cet article du début 2006, que j'ai ré-orienté ma clientèle-cible de mon blogue comme elle l'avait été de 2000 à 2006. Un seul blogue en français et surtout beaucoup plus technique et donc rébarbatif à plusieurs de mon audience à l'époque. Résultat : Perte de 40 à 60% de mon lectorat, perte de 80% des demandes de soumissions et 25% des appels d'offres. Ayoye vous direz ! NON.
Éric Baillargeon est l'un des meilleurs spécialistes canadiens du marketing Internet et du référencement, cet art de faire apparaître un site Internet en haut de liste des moteurs de recherche.
Il possède un blogue professionnel en français ( http://intercommunication.blogspot.com) et un autre en anglais. Il consacre une heure par jour à leur mise à jour. «Entre 85 et 90 % de mes contrats me viennent de clients qui m'ont connu par ces blogues», dit-il.
Entre 500 et 600 personnes par jour visitent ses sites. «Quelqu'un qui a pris la peine de faire une recherche sur le Web pour te trouver est déjà un client potentiel. Si tu publies dans ton champ de compétence, ça fait de toi quelqu'un d'intéressant pour un client ou un employeur», dit-il.
Selon Éric Baillargeon, un carnet peut entraîner de tels résultats s'il offre beaucoup de contenu intéressant et s'il est mis à jour régulièrement. Sinon, il sera ignoré des moteurs de recherche.
Ce «googlologue» rappelle également que la notoriété d'un site n'est pas instantanée. Inutile de penser être repéré par un client ou un employeur quelques jours après la conception d'un blogue.
Éric Baillargeon déconseille de plus cet outil à ceux qui offrent des services de proximité.